L’offensive lancée par le lobby antinational en Belgique visant à asphyxier financièrement le Vlaams Belang (« L’intérêt flamand »), c’est-à-dire concrètement à l’empêcher de faire campagne, suscite aussi l’inquiétude des patriotes français et au delà de tous ceux qui sont attachés à la liberté d’expression et à la démocratie. Une interdiction, qui créerait un dangereux précédent au sein de l’UE, voulue aussi par tous ceux qui, en France, entendent empêcher nos compatriotes de défendre leur identité en votant pour les représentants de la droite nationale. En décembre dernier, plusieurs associations islamiques d’outre Quiévrain s’étaient jointes aux manœuvres de deux officines immigrationnistes, « Kif Kif » et « MRAX », lançant un appel au monde politique belge pour que soit retiré le financement public au Vlaams Belang. Objet du courroux de ces individus, les déclarations faites par l’un des dirigeants du Vlaams Belang, Filip Dewinter, dans un périodique de la communauté israélite américaine, le Jewish Week. M. Dewinter avait ainsi déclaré que le VB était un parti « islamophobe », c’est-à-dire étymologiquement parlant qui « craint l’islam »… Une déclaration faite dans le contexte des prochaines élections municipales en Belgique, les nationaux flamands réalisant près de 30% des voix à Anvers, ville ou la communauté juive jouit d’un poids démographique et économique déterminant. Le chef du groupe socialiste à la Chambre, Thierry Giet, avait saisi le 1er décembre 2005 le président de la Commission des dépenses électorales, Herman De Croo, pour inscrire à l’ordre du jour l’opportunité d’introduire auprès du Conseil d’Etat une requête visant à supprimer la dotation publique du Vlaams Belang (FDA Quotidien du 3/12/2005)