Certes, dans leur volonté constante de substitution de population, les mondialistes qui nous dirigent ne se sont pas contentés de s’interdire toute politique familiale en faveur de nos compatriotes, ils ont aussi fabriqué de nombreux « Français de papier ». Ainsi, parmi les immigrés dont fait état l’étude de l’Insee, 2 millions sont titulaires d’une carte d’identité française, soit officiellement 40% des immigrés, contre 36% en 1999. Comme l’a encore relevé Jean-Marie le Pen, « les Français n’ont pas besoin des chiffres aléatoires de l’INSEE pour constater que l’immigration ne cesse d’augmenter, et que les gouvernements successifs ne font rien pour lutter contre ce fléau qui met de plus en plus gravement en péril l’identité française, et à échéance l’existence même de la nation ». Ce qui ne trouble pas outre mesure les alter ego socialistes de Nicolas Sarkozy engagés dans la course à l’investiture pour la présidentielle. Peu avant le spectacle lamentable qu’a offert aux Français le PS lors de son université d’été à La Rochelle, Dominique Strauss-Kahn a précisé que l’urgence absolue n’est pas de protéger les Français d’une immigration qui les appauvrit et les rend chaque jour un peu plus étrangers dans leur propre pays. Non, l’urgence pour DSK est de s’appuyer sur la « construction européenne » pour « lutter contre le nationalisme renaissant », de favoriser « une immigration positive ». Même son de cloche de son frère ennemi Laurent Fabius, lequel a annoncé son intention, s’il était élu en 2007, d’accorder le droit de vote aux immigrés. « Immigration positive » et « droit de vote des immigrés », deux mesures prônées elles aussi par le candidat Sarkozy…