Procès-marathon de Nick Griffin à Leeds
Nick Griffin, leader du British National Party, est l’objet d’un véritable harcèlement judiciaire, après avoir été espionné en 2004, filmé à son insu, par un journaliste de la BBC se faisant passer pour un militant. Son crime ? Il dénonce l’islamisation de son pays et le gouvernement qui laisse faire, voire qui encourage. Bruno Gollnisch a tenu à lui exprimer sa solidarité en ces termes :
« Cet ignoble procès n’a été obtenu par nos adversaires qu’au moyen de méthodes journalistiques scandaleusement contraires à toute déontologie.
Il n’a été provoqué que pour masquer les insuffisances, et même la complicité d’un gouvernement visiblement favorable à la submersion de son propre territoire, de son propre peuple.
La Grande-Bretagne, grande nation devant l’Histoire, ne mérite pas cela, et j’attends de ce procès qu’il serve au moins à ouvrir les yeux du peuple britannique ».
Ce procès-marathon est ouvert depuis janvier 2006. Nick Griffin a remporté le premier « round » en février, lavé d’une bonne moitié des chefs d’accusation. Mais la reprise de la procédure, « annoncée (exigée ?) par la Couronne », reprend en cette fin-octobre.