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Avec nous avant qu’il ne soit trop tard !

Mais pour 2007, « je crois que la conjoncture d’un sursaut est possible », a poursuivi Jean-Marie Le Pen, « je souhaite que toutes les forces nationales, au-delà de leurs différences, se regroupent. Je crois qu’il y a là un but, et par conséquent un élan », sachant que « les phénomènes politiques sont des phénomènes torrentiels » comme l’histoire récente l’a prouvé, où l’on a vu – en 1958, en 1962… – que « des majorités, que l’on croyait solidement établies, ont été balayées ». « Si l’on prolonge les courbes habituelles, notre pays est condamné, avec l’Europe, à la submersion et donc à l’esclavage », a encore noté le candidat à la présidence de la République. « Mais dans ma conception de la vie, comme dans celle de notre pays, il entre aussi une dimension providentielle que nous ne devons pas négliger mais à laquelle nous devons apporter le soutien de l’action humaine. Je crois que nous avons la capacité d’entraîner le courant national, de le cristalliser », courant « susceptible de balayer le système qui s’est imposé à notre pays. On peut aboutir à une véritable révolution politique, une révolution française pour une fois ! ». « Sous le signe de l’Union patriotique », a-t-il insisté, « nous appelons toutes les forces politiques, spirituelles, intellectuelles, journalistiques, associatives, syndicales à nous rejoindre ». « J’ai déjà rencontré des gens représentatifs de ces professions qui sentent le danger et qui souhaitent une sortie pour notre pays, rejoindre notre combat. C’est toute la grâce que je nous souhaite, ainsi soit-il ! ».

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