Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Face au refus de la Turquie de laisser entrer dans ses ports les navires chypriotes, la Commission européenne a – enfin- décidé de « ralentir » les pourparlers sur son entrée dans l’Union européenne en gelant les discussions sur huit des trente cinq chapitres de négociation.
Que l’Union européenne négocie l’adhésion d’un pays qui n’est européen ni géographiquement, ni historiquement, ni culturellement est déjà inacceptable. Que la Turquie refuse en outre d’accorder à un des membres de l’Union dont elle prétend devenir membre l’exercice de ses droits fondamentaux ajoute au scandale.
Mais cette « suspension partielle » ne correspond à rien. Elle est humiliante sans être utile.
Les négociations doivent s’arrêter définitivement, parce que la Turquie n’est pas une nation européenne.