« Les causes du déclin sont multiples, mais faciles à identifier », a affirmé le candidat de l’Union patriotique, « les structures traditionnelles de la vie économique, financière et internationale ont cédé sous la poussée d’une mondialisation que les pouvoirs publics successifs se sont refusés à encadrer […]. Les systèmes de valeurs morales et les religions sont de surcroît bousculés par un matérialisme consumériste destructeur, et par l’utopie globalitaire en vogue dans la classe dirigeante, tandis que les milieux de la culture, de l’éducation, de l’information restent profondément imprégnés de l’influence marxiste ». « Faute de repères philosophiques et moraux, les dirigeants ne savant plus s’il faut accompagner les mouvements erratiques de la société, incapables qu’ils sont de les canaliser, voire de les endiguer ou même de les refouler […]. Pis, affranchie de toutes les disciplines bienfaisantes, la société est soumise au carcan du politiquement correct et à la dictature de la pensée unique, qui imposent à la population l’acceptation silencieuse d’une immigration planétaire, massive et illimitée, d’un prélèvement fiscal confiscatoire, d’une violence urbaine chaque jour plus inquiétante […]. Au Franc français, au droit français, à l’art de vivre français, se substituent des modes que leur impose le prêt-à-penser mondialiste ou européiste, lequel n’a amené que perte d’influence, d’identité et, pour chacun d’entre nous, de libertés et de revenus ».