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« Où sont les hooligans ? »

Bruno Gollnisch a ensuite présenté la composition du groupe : « il comportera sept nationalités », « au-dessus du minimum requis par le Parlement ». Soit pour la Bulgarie et la parti Ataka, « le benjamin de notre Parlement Dimitar Stoyanov (membre du Bureau du groupe) ; pour la Roumanie et le parti România Mare, dont le président M. Corneliu Vadim Tudor et le bureau ont approuvé la composition de ce groupe, les députés Daniela Buruiana, Cristian Stanescu, Viorica Moisuc, Eugen Mihaescu (vice-président du groupe) et Petre Popeanga (Trésorier du groupe). Dans sa composante britannique, figure le député Ashley Mote (vice-président du groupe) ; pour la composante italienne deux mouvements patriotes et nationalistes italiens, représentés par Luca Romagnoli (membre du Bureau du groupe) et Alessandra Mussolini (membre du Bureau du groupe) ; pour l’Autriche et le FPÖ, Andreas Mölzer (membre du Bureau du groupe) ; pour la Belgique et le Vlaams Belang, Frank Vanhecke, Koenraad Dillen, Koenraad Dillen (vice-président du groupe) ; enfin, bien sûr pour la France et le Front National, Lydia Schénardi, Carl Lang , Jean-Claude Martinez, Fernand Le Rachinel, Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen et Bruno Gollnisch », « soit un effectif de 20 députés ». « Notre groupe a été présenté par certains journaux sous des aspects caricaturaux et s’inspirant de préjugés que l’on pourrait pratiquement qualifier comme étant des préjugés racistes à l’égard des électeurs que nous représentons, ou à l’égard de nos personnes, présenté comme un groupe de hooligans », a souligné Bruno Gollnisch. « Alors », a-t-il poursuivi, « je précise que notre groupe comporte trois chefs d’entreprise qui ont créé chacun des dizaines, voire des centaines d’emplois, un ingénieur en géologie, cinq professeurs d’université (finances publiques, géologie, relations internationales, langue et civilisation de l’extrême orient), deux professions libérales, trois journalistes ou publicistes et un artiste qui a été l’ambassadeur de son pays à l’Unesco ». « Je ne sais pas où sont les hooligans, personnellement je ne les ai pas vus ! », a ironisé Bruno Gollnisch.

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