Interrogé sur l’affaire Bruno Rebelle, ex de Greenpeace qui a rejoint l’équipe de Mme Royal et qui aurait été surveillé par les Renseignements Généraux (RG), Jean-Marie Le Pen a rappelé que les RG avaient « une mission de renseignement politique sur les partis, y compris les partis démocratiques ». Bref, il ne s’agit là ni d’un complot, ni d’une une affaire d’Etat. Au sujet du procès de l’hebdomadaire Charlie hebdo qui s’ouvre cette semaine suite à sa publication des caricatures de Mahomet, Jean-Marie Le Pen s’est dit « pour toutes les libertés quelles qu’elles soient ». « Je condamne la condamnation lancée contre des caricatures », a-t-il ajouté, soulignant cependant qu’il existe plus de déférence pour la religion musulmane « qui est récente dans notre pays que pour la religion catholique qui est présente depuis des siècles ».