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Face à la violence mondialiste, Soral rejoint la résistance

L’écrivain et sociologue de gauche Alain Soral tenait mardi une conférence de presse à Paris en compagnie de Louis Aliot, directeur adjoint de la campagne de Jean-Marie Le Pen, pour évoquer « la question sociale, volontairement occultée par la « peopolisation » d’une élection réduite à une finale de Star Academy ». Devant de nombreux journalistes, il a annoncé qu’il rejoignait « la Résistance », qu’il soutenait le candidat de l’Union patriotique, « le seul candidat sérieux du NON qui s’oppose encore à l’euromondialisme ». Mais aussi qu’il allait « donner une semaine de son temps pour partir à la rencontre des maires ruraux », à qui il a lancé un appel solennel, afin qu’ils donnent leurs signatures à Jean-Marie Le Pen. Alain Soral a en effet déclaré être « scandalisé » par le fait que le président du FN rencontre tant de difficultés à les obtenir et qu’il était inimaginable que celui-ci ne puisse se présenter. Tant il est vrai que dans notre démocratie, « face aux deux candidats surmédiatisés au service de la même mondialisation libérale », on doit pouvoir offrir le choix aux Français « entre deux modèles de société » radicalement différents. « Quiconque roule pour l’euromondialisme ne peut rien proposer d’autre que ce qui a été fait depuis 30 ans ». Pour s’opposer à cette idéologie, « seuls les nationalistes peuvent être efficaces et certainement pas les altermondialistes qui n’ont pas les fondamentaux pour s’opposer à cette violence, à cette déferlante mondialiste ». Notant que « la civilisation mondiale a vécu pendant des millénaires sans la science économique », « activité récente et suspecte », Alain Soral a plaidé pour la remise de l’économie « sous la tutelle du politique ». De tous les candidats, « seul Jean-Marie Le Pen est indépendant des puissances d’argent dont les autres ne sont que des employés », a-t-il relevé.

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