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Royal, pas vraiment enchanteresse…

Marine Le Pen était mardi matin l’invitée de Mickaël Darmon sur France 2 dans « Les quatre vérités ». Interrogée sur la prestation de Ségolène Royal la veille sur TF1 –voir notre précédente édition- la directrice stratégique de la campagne Le Pen a relevé non sans humour qu’elle avait trouvé le nom du Premier ministre de la candidate du PS. Soit « Merlin l’enchanteur », le seul capable « de tenir les promesses qu’elle a faite ». Une Ségolène Royal « qui prend toutes les mauvaises idées de la gauche et toutes les mauvaises idées de la droite », puisque avec elle «c’est toujours l’Etat », « omnipotent », qui à toutes les solutions », sans que soient évoquées « la moindre recette », la moindre économie », « aucune mesure pour relancer la croissance ». « Et dans le même temps elle ne renonce pas à l’ultralibéralisme qui détruit notre économie. Une Ségolène Royal qui est dans la posture de « l’infirmière qui cajole, qui console ». Pourtant quand « le navire est dans la tempête on n’appelle pas l’infirmière à la barre ! ». « Les recettes que propose Mme Royal « ont déjà été appliquées et sont dramatiques pour le pays » a encore relevé Marine Le Pen, pointant « des choses très graves dans son discours », notamment « sur le travail des plus de 50 ans » : « On gère la pénurie du chômage on n’imagine pas une demi seconde arriver réellement au plein emploi », « le chômage est vu comme une méthode de régulation de l’économie». Une conception qui n’est bien évidemment pas celle du candidat Le Pen.

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