De lâchetés politiques en calculs politiciens, d’incuries répétées en incompétences flagrantes, nous sommes arrivés là où nous en sommes : un pays appauvri, sans repère, sans fierté et sans espoir, bref, une nation en déclin dont se gaussent de plus en plus les observateurs étrangers » a relevé Jean-Marie Le Pen. Car « quand le pouvoir se refuse à distinguer le bien du mal et le juste de l’injuste, quand il prétend être neutre entre l’ordre et le désordre, quand il est disposé à reconnaître aussi bien l’usage que l’abus de la liberté, quand il cède devant les pressions illégitimes, quand il ment au peuple pour esquiver ses responsabilités, alors il n’est pas loin d’être gravement contesté dans les esprits et donc il n’est pas loin de sa chute ». «La liberté est un bien précieux des Nations et des hommes » a-t-il poursuivit, «mais il ne peut y avoir de liberté contre la vérité ni contre le bien commun. Concilier les impératifs de liberté et d’autorité reste la mission principale des responsables politiques ».