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Pour l’Europe des nations libres

Jean-Marie Le Pen était dimanche 25 mars à Toulouse devant plus de 2000 sympathisants, grande réunion publique où, en ce cinquantième anniversaire du Traité de Rome, il n’a pas ménagé ses trois principaux adversaires, notamment les candidats de l’UMPS qui, bafouant le résultat du référendum du 29 mai 2005, ont annoncé qu’ils entendaient imposer au peuple le nouveau projet de Constitution européenne. Il a tracé les contours d’une autre Europe possible, respectueuse des nations et des peuples qui entendent garder la maîtrise de leur destin. Le candidat de l’Union patriotique a dressé le terrible bilan des dérives anti-nationales de l’Europe bruxelloise et de l’appauvrissement généralisé des Français que celle-ci a généré dans une France où « les intérêts de la dette » sont devenus « le 2ème poste budgétaire de l’Etat ! Voilà à quoi servent nos impôts ! ». En France, a-t-il observé, « le mensonge d’Etat est désormais une véritable institution, qui dispose de moyens financiers et humains : les ministères, les différents instituts officiels de chiffrage, relayés par certains médias complaisants ». Bref, les partis de l’Etablissement se sont fait les complices actifs des cénacles bruxellois, « l’Europe a été un marché de dupes, dans lequel nous avons reçu, en échange de nos sacrifices, des coups de massue sur la figure ! ».

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