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Sous le signe de la déesse de la Victoire

Tout un symbole : Jean-Marie Le Pen tenait le 19 avril à Nice, dans un palais des congrès bourré à craquer, le dernier meeting avant le premier tour, dans cette ville placée sous la protection de la déesse grecque de la Victoire Nike. Face aux candidats du Système, à leurs mensonges à leur passif désastreux, le candidat de l’opposition nationale en a de nouveau appelé au sursaut populaire, « au nom de la France éternelle ».Après avoir remercié tous ceux qui ont « contribué à l’effort commun pour informer nos compatriotes des dimensions de l’enjeu, de nos analyses et nos propositions pour arracher la France et les Français au désastre », Jean-Marie Le Pen est revenu sur cette année de campagne où « nous avons sillonné la terre de France. Car c’est au plus près de vous, au plus près du peuple de France que j’ai voulu mener la bataille électorale, et non, comme certains, depuis la muraille de Chine ou le bureau ovale du Président des Etats-Unis…Partout, j’ai rencontré des Français, souffrant dans leur vie quotidienne, exaspérés de n’être jamais entendus, de n’être jamais écoutés par un système qui les ignore et qui tourne en vase clos, de manière absurde. Qu’attendent nos compatriotes ? Que se lève une grande vague nationale, qui vienne enfin balayer l’oligarchie en place, auquel ils ont raison de ne plus faire confiance, puisque depuis trop longtemps, elle les trahit sans scrupules ni remords.

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