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Propos d’estrade et réalité de Nicolas Sarkozy…

Rédigé par Bruno Gollnisch, directeur de la campagne des législatives, un argumentaire a été envoyé aux cadres et candidats du Mouvement de Jean-Marie Le Pen afin de mettre clairement en lumière les différences lourdes existant entre le programme défendu par Nicolas Sarkozy et l’UMP et celui de l’opposition nationale. Ainsi si le FN « souhaite expulser les délinquants et les criminels étrangers », Nicolas Sarkozy lui, « a supprimé cette possibilité pour les résidents étrangers avec l’abolition de la prétendue « double peine », lors de son premier passage place Beauveau par la loi dite loi MISEFN. Pareillement si l’Opposition nationale entend défendre l’identité nationale « contre toutes les agressions mondialistes » Georges-Marc Benamou, grand communicant socialiste (…), vient de rejoindre l’équipe Sarkozy.… en tant que conseiller pour la culture et les médias. Georges-Marc Benamou, avec Bernard-Henri Lévy, est le fondateur du mensuel Globe, disparu depuis. Dans le manifeste du premier numéro, ces « citoyens du monde » n’hésitèrent pas à étaler leur mépris pour l’identité française : “ Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bérets, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. ” Une profession de foi bien éloignée des propos d’estrade du candidat de l’UMP…Dans le même esprit, « si le FN veut en finir avec l’esprit de mai 68, mélange de subversion marxisante et de nihilisme hédoniste dont les effets ont été ravageurs sur la société française », Après avoir fait campagne dans ce sens, Sarkozy a confié les affaires étrangères de la France à Bernard Kouchner, figure emblématique de mai 1968, ancien président des étudiants communistes, militant de la victoire des communistes au Viêt-Nam. Puis, Après avoir fait campagne contre l’esprit de « repentance », « arme de guerre psychologique destinée à dégoûter les Français de leur histoire, leur patrimoine et leur identité note Bruno Gollnisch, Sarkozy, avant même son investiture, dès le 10 mai 2007, a participé à une cérémonie de « repentance » pour l’esclavage en compagnie de Chirac ».

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