Reste que le discours de ces bonnes âmes laïques achoppe sur la responsabilité qui est celle de leurs familles politiques ou idéologiques dans la dilution de la France et du modèle républicain sous les coups de boutoir de l’immigration de peuplement, qui ne peut qu’accélérer le rythme des revendications communautaires. D’ores et déjà notre république sarkozyste a permis l’aménagement d’« horaires réservés » pour les femmes dans les piscines municipales, une politique intensive de construction de mosquées avec l’argent des contribuables organisée dans de très nombreuses municipalités UMP, et tolère dans les faits la polygamie. Le gouvernement ferme les yeux sur la suppression dans les écoles du sapin de Noël et de la mention de cette fête pour ne pas heurter les familles islamistes, et finance le communautarisme par le biais de la catastrophique « politique de la ville » pour acheter la paix sociale. Avec les résultats que l’on sait, comme on l’a vu encore le 4 octobre dans la Zone urbaine sensible (ZUS) du Vert-Bois à Saint-Dizier (Haute-Marne) mise à feu et à sang par une cinquantaine de jeunes armés de barres de fer. Deux bâtiments et seize véhicules ont été incendiés, les forces de l’ordre et les pompiers ont été attaqués et blessés. Comme d’habitude « les gaulois » paieront. Selon le maire UMP François Cornut-Gentille, ces violences seraient « peut-être liées à l’interpellation récente d’un jeune qui avait giflé un policier ». Marine Le Pen a souligné elle que Nicolas Sarkozy surtout « n’a pris aucune mesure concrète contre la délinquance des mineurs et pour le démantèlement des bandes ».