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« C’est mon combat, c’est aussi le vôtre »

Et le tropisme mondialiste des cénacles européistes ne cesse de s’accentuer notamment en matière d’immigration. Jean-Marie Le Pen a ainsi noté que « la Commission européenne vient de proposer à l’image de la « green card » américaine, une « carte bleue » européenne, destinée à attirer des immigrants qualifiés dans l’Union européenne (…). Le travailleur immigrant pourra aussi faire venir sa famille selon une procédure accélérée, favorisant ainsi le regroupement familial. En plus d’aggraver la « fuite des cerveaux » des pays tiers, en particulier d’Afrique en captant leurs élites, la Commission nous propose donc une immigration supplémentaire, une immigration choisie si chère au président Sarkozy…(…). Aujourd’hui 24 octobre 2007, je lance la campagne des élections européennes de 2009, a-t-il poursuivi, en me faisant le porte-drapeau et le porte-parole de la Résistance française face au totalitarisme larvé de l’Eurocratie et de ses séides. Je serai le héraut du NON à l’Europe confisquée par les eurocrates et les petits juges de Luxembourg. Je serai le défenseur de la France qui dit NON à la Turquie dans l’Europe, à la France qui dit NON à un super Etat européen avec, comme nous l’avons montré brièvement, les instruments de sa puissance, à la France qui dit NON à l’Europe mondialisée ouvrant nos frontières aux populations du tiers-monde, aux produits « made in China » et livrant nos entreprises aux prédateurs de tous horizons. Même si les représentants de l’Europe des Peuples et des Nations semblent avoir en apparence déposé les armes, avoir perdu l’espérance, c’est le moment de reprendre le flambeau et de lancer un appel solennel à ces peuples et Nations d’Europe : non, vos Nations ne vont pas disparaître dans un Super Etat européen ; non, vos peuples ne vont pas être dissous dans une citoyenneté européenne utopique et criminelle ». Oui, chers amis européens a-t-il conclu, l’Europe que vous défendez, que vous aimez, a encore de beaux jours devant elle à condition qu’on ne confie pas sa destinée à de mauvais bergers mais à des hommes et à des femmes respectueux de nos Nations, de leurs traditions et de leur identité. C’est mon combat, c’est aussi le vôtre ».

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