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Procès de Bruno Gollnisch : quand Ubu rencontre Staline

Procès de Bruno Gollnisch (suite)

Beaucoup a été dit dans les media sur le procès intenté à Bruno Gollnisch pour, prétendument, « contestation de crime contre l’humanité ».

Ce procès est de type stalinien, puisqu’il est interdit de s’y défendre. De nombreux arguments prouvent en effet la bonne foi, comme la reconnaissance publique, réitérée devant le tribunal, des crimes du national-socialisme, pour lequel ni Bruno Gollnisch ni le Front National n’ont jamais eu la moindre sympathie.

Il est aussi ubuesque, quand les parties civiles et le tribunal soutiennent que ces arguments ne sont que des arguties qui permettraient de mieux faire passer un message antisémite.

Leur raisonnement est simple : Bruno Gollnisch est antisémite, donc il est négationniste. Comme il est négationniste, il est donc antisémite.

Comment donc ? Le prévenu aurait mené une carrière universitaire et politique irréprochables pendant 30 ans, simplement pour gâcher tout ça par des déclarations qui n’auraient d’autre but que de préparer une guerre de succession interne au Front National ? Soyons sérieux.

Plaise au tribunal de revenir à la raison et à la stricte application du droit, au lieu de faire un procès d’intentions sur ce que Bruno Gollnisch aurait pu avoir tendance à envisager d’insinuer !

L’écho de Régis Benech

On se souvient que, en première instance, Bruno Gollnisch avait réussi à évincer Maître Jacubowicz, celui-ci ayant voulu lui tendre un piège grossier.
Sans doute chapitré par les associations qu’il représentait, dont la LICRA et l’UEJF, que l’on devine plus soucieuses d’obtenir des dommages et intérêts que l’affirmation de la vérité historique, Maître Jacubowicz est revenu faire un tour de piste lors de l’appel.
Son agitation a fait perdre plus d’une heure de temps à la cour, pour le même résultat qu’en première audience.
Ainsi donc, Maître Jacubowicz est capable, dans la même journée, de proclamer que Bruno Gollnisch serait « Faurisson puissance 1000 », et de reconnaître qu’il n’a rien à lui reprocher, et se désister.
Encore une fois, le paraître et le souci de l’image l’emportent sur toute considération de vérité et de justice.

Régis Bénech

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