Monsieur le Président, le rapport qui vient d’être adopté dans notre Assemblée s’inscrit absolument dans la ligne « politiquement correcte » qui règne ici en maître, sans aucune contestation des dogmes établis.
Pourtant, une affirmation mille fois répétée n’est pas pour autant justifiée. Il y a toujours eu des réchauffements du climat. Il y a eu des réchauffements du climat depuis les dernières glaciations, par exemple, et ce ne sont quand même pas les voitures utilisées par l’homme de Neandertal qui ont provoqué les derniers réchauffements.
Il n’y a aucune contestation, il n’y a aucune interrogation sur ce qui nous est répété cent fois, mille fois, et dans quel but? On voit bien qu’il y en a au moins un qui présente un grand intérêt: c’est de préparer l’avènement du gouvernement mondial; et le deuxième, c’est de culpabiliser une fois de plus l’homme européen et l’homme occidental considéré, à tort, comme le responsable de tous les péchés du monde.
Je m’arrêterai là, Monsieur le Président, puisque je n’ai pas droit à soixante et une secondes. Je vous remercie de m’avoir écouté avec attention.