« Parce que si nous ne faisons pas ça, alors les esclavagistes du monde entier et les réseaux criminels du monde entier tireront la conclusion qu’on peut faire débarquer n’importe comment des pauvres gens sur les plages de France. Le message est très clair », a-t-il expliqué. Une argumentation frappée au coin du bon sens…mais qui est totalement contredite dans les faits par la politique gouvernementale.
Il s’agit d’abord de rappeler que seule un infime pourcentage des clandestins entrant chaque années dans notre pays sont réellement expulsés et que la politique d’immigration « choisie » mise en place par Sarkozy n’a pas fait baisser l’immigration « subie ».
Il convient aussi de constater que le refus de réformer notre Code de la nationalité, et notamment le droit du sol qui permet à un enfant non européen qui naît sur le sol français d’être français, le maintien du regroupement familial, les régularisations et les naturalisations à haut débit, la politique de mise en concurrence des salariés français et des immigrés par la délivrance massive de visas, encouragent les flux migratoires que ceux-ci soient considérés comme légaux ou illégaux par le gouvernement.
Dans les deux cas, ils participent à la paupérisation et à la tiers-mondisation sociale, économique et identitaire de la France et des Français.