« Une étude de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) parue en 2006 rapporte cet article, estime qu’il y aurait entre 16 000 et 20 000 familles polygames résidant en France, en situation régulière ou non, soit environ 180 000 personnes».
Un chiffre que conteste Sonia Imloul, « fondatrice de l’association Banlieue 93 et militante du Nouveau Centre », qui soumet dans une note « dix propositions pour combattre la polygamie qu’elle juge potentiellement dangereuse pour l’organisation sociale et destructrice pour les enfants et les femmes qui la subissent». Sonia Imloul, qui s’appuierait sur des estimations policières, a chiffré à 500 000 le nombre de personnes concernées par la polygamie sur notre territoire national.
Libération relève que c’est « l’Institut Montaigne, think-tank de tendance libérale », qui a récemment publié « la note alarmiste » de Mme Imloul. Par « think-tank de tendance libérale », il s’agit de comprendre que ledit Institut, dont la présidence d’honneur est assurée par le très mondialiste Claude Bébéar, milite activement en faveur d’un des projets phare du quinquennat sarkozy, la mise en place de la discrimination positive et des quotas ethniques, notamment dans le monde de l’entreprise.
Ce n’est pas le renvoi dans leur pays d’origine des familles vivant en opposition avec le droit français que souhaite ce groupe de réflexion et de pression proche de l’Elysée, mais de faire évoluer les mentalités des familles africaines.
Dans l’attente de cette « évolution », les familles françaises les plus modestes patientent sur des listes pour obtenir un logement social et ce sont les contribuables français qui versent tous les mois les allocations familiales pour toutes les fratries polygames…