Scandale dans le landerneau immigrationniste : rendez vous compte, une affiche du Front National de la jeunesse dénonce l’islamisation de la France ! Devant cet affront à la pensée dominante selon laquelle l’arrivée massive ces dernières décennies de six millions de musulmans est une chance pour la France, et ne saurait menacer ni l’identité nationale, ni le modèle républicain, le Système a donné de la voix. Pour la circonstance, les frères ennemis de « l’anti-racisme » subventionné, à savoir la Licra et le Mrap, ont fait taire leurs analyses divergentes sur le conflit israélo-palestinien et ont pondu des communiqués interchangeables. Ils ont exigé de concert « le retrait de l’affiche, l’interdiction de la coller ainsi que la condamnation de ses auteurs », dénoncé « une incitation à la haine raciale » (sic), « un trouble manifestement illicite », «une (instrumentalisation des) peurs afin de générer des tensions entre nos concitoyens et inciter au repli identitaire ».
Cette montée au créneau virulente ne doit rien au hasard à quinze jours du premier tour des élections régionales. Les deux officines en question remplissent leur cahier des charges en jouant leur rôle de rabatteurs au profit de la gauche et de la droite mondialistes, de chiens de garde du système, afin de dissuader par leurs hurlements les électeurs qui n’en peuvent de quitter le troupeau au profit du vote FN…
Il est enfin assez piquant de fustiger dans cette affiche du FNJ une incitation au repli identitaire -des « gaulois » ? Des immigrés ou français issus de l’immigration non européenne ?-, alors même que ladite campagne met justement en garde sur les conséquences de celui-ci , se traduisant par une montée en puissance des revendications communautaristes islamiques chez de nombreux musulmans vivant en France (certes, pas tous).
Au titre de ce « repli identitaire » comment qualifier autrement l’explosion de la consommation halal en France ? Le site Polemia a consacré un long développement à ce problème. « En fait, c’est la troisième génération issue de l’immigration maghrébine et subsaharienne qui promeut la consommation hallal, pour laquelle elle a » un attachement très fort, paradoxalement encore plus fort que chez leurs parents« , selon Florence Bergeaud-Blackler, sociologue à l’unité d’anthropologie de l’université d’Aix-Marseille ; sentiment partagé par Hassan Bouod, patron d’une entreprise agroalimentaire à Marseille, qui affirme : » « Notre jeunesse est très fière d’acheter hallal et a envie de consommer ce type de viande, c’est psychologique« .
« Plus que le jeûne du ramadan, la promotion de l’alimentation hallal ne reste cantonnée à l’espace privé ; au contraire, elle tend à s’imposer dans l’espace public, à la fois pour des raisons d’intérêt commercial et en réponse à des pressions politiques ».
« La logique de rationalisation des coûts peut (…) conduire à hallaliser la distribution des viandes. La logique commerciale conduit, elle, à hallaliser l’offre de plats préparés : pour pouvoir vendre partout, et à tout le monde, bien des firmes, comme Maggi, éliminent le porc et l’alcool de leurs préparations et s’approvisionnent principalement en viandes hallal. Dans une logique purement commerciale, c’est le groupe le plus intolérant qui dicte sa loi aux marchands d’abord, à tous les clients ensuite ».
« Ce phénomène est renforcé par l’importance de la restauration collective dans les écoles et les entreprises où, souvent, les règles de la minorité sont imposées à la majorité ».
Et l’article de Polemia de citer en exemple la municipalité de Lyon qui « a mis en place, à côté des menus classiques, un menu végétarien, au motif que, dans certains quartiers, un tiers des enfants continuaient à ne pas toucher au plat principal, même sans porc, dans la mesure où les viandes servies n’étaient pas suffisamment garanties hallal ».
« En région Île-de-France, une étape supplémentaire est en train d’être franchie. Le Siresco, syndicat intercommunal réunissant des villes principalement d’obédience communiste, qui livre 35 000 repas par jour, a banni le mot « porc » de son site internet… et des assiettes qu’il livre au moins dans certaines communes, comme Tremblay-en-France (…). Selon le site TEO, au lycée professionnel laïc Lavoisier de Roubaix, « tout le lycée mange hallal à la cantine, y compris les non-musulmans. Il était plus simple d’adopter cette préparation rituelle de la viande, que les autres confessions peuvent tolérer ».
« Cette solution présentée comme un symbole de consensus est surtout une prime au plus intolérant !Avec deux conséquences :de plus en plus de Français sont en effet condamnés à manger sans le vouloir, et souvent sans le savoir, des plats hallal ; simultanément, de plus en plus de jeunes Français se voient privés d’innombrables plats traditionnels : boudin, potée, carré de porc, choucroute, saucisses-lentilles, cassoulets, petit-salé, etc. ».
« Ainsi, l’identité de la minorité s’affirme au détriment de celle de la majorité ». Tout est dit…