La police de la pensée entend en effet empêcher les Français de prendre conscience des dangers découlant de l’immigration de peuplement. Une entreprise de lobotomisation à grande échelle qui passe par l’interdiction de parole et d’action des « dissidents » à l’idéologie dominante.
Dans cette optique, le journaliste et essayiste Eric Zemmour, qui refuse de parler la langue de coton et dit tout haut un certain nombre de vérités que les Français pensent de moins en moins bas, s’est retrouvé lui aussi dans le collimateur du Mrap.
Invité samedi dernier de l’émission Salut les terriens, animée par Thierry Ardisson, M. Zemmour a rappelé que « l’immigration se concentre dans certains quartiers, et les autochtones s’en vont », estimant par ailleurs que « quand on vit en France, on donne un prénom français » à son enfant, ou encore que si les « jeunes » sont souvent contrôlés par la police c’est parce que « la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c’est un fait ».
Le MRAP a immédiatement intimé l’ordre au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) de rappeler aux médias audiovisuels les consignes de censure existant sur ce type de sujet, « l’éthique des valeurs antiracistes qu’elles doivent respecter ». Les propos d’Eric Zemmour a cru comprendre le Mrap, « participent à la promotion des clichés et des stéréotypes racistes ».
En plein déni du monde réel et des souffrances sociales, économiques, identitaires engendrées par la politique d’immigration massive, les officines « antiracistes » ne comprennent pas que ce sont justement les « clichés et les stéréotypes » véhiculés par les apôtres de « la société métissée », de l’UMP au NPA, que nos compatriotes ne supportent plus. C’est ce décalage flagrant entre la perception de la réalité de l’immigration vécue par les Français et le discours des « élites » mondialistes qui est insupportable. Ce que les électeurs ne manqueront pas de rappeler…le jour où ils se décideront à reprendre massivement le chemin des urnes…