L’entreprise d’abrutissement, d’endoctrinement, de déracinement et d’acculturation des « masses » ne se dément pas et au nom de « l’intégration », de la propagande visant et à accélérer la mise en place du « village planétaire », de nouvelles instructions officielles ont été données pour les programmes scolaires.
Le blogue d’Eric Brunet s’en est fait l’écho avec un certain bruit, en donnant la parole à l’historien, spécialiste du Ier Empire, Dimitri Casali. Celui-ci relève que « François Ier, Henri IV, Louis XIV et Napoléon vont être réduits à leur plus simple expression dans les programmes de l’année prochaine au profit des empires africains du Songhaï et du Monomotapa ! Cette décision officielle a été prise cette année au nom de « l’ouverture aux autres civilisations de notre monde » (…). L’étude de la Révolution et l’Empire sont sacrifiés afin de mieux étudier les grands courants d’échanges commerciaux des XVIIIe et XIXe siècles, comprenant les traites négrières et l’esclavage ».
Fort justement il est noté que « la déconstruction de notre histoire est rampante et les tenants de ces théories révisionnistes creusent lentement leurs sillons. Sans que personne ne réagisse. De plus en plus tournée vers la seule lecture culpabilisante du passé et cet éternel esprit de repentance, la France multiplie les lois mémorielles (loi Taubira 2001). Nos hommes politiques sont-ils à ce point désemparés devant les enjeux du présent et les perspectives d’avenir pour se déchirer ainsi sur le passé ? Ont-ils une si noire vision de la France, de son héritage et de ses valeurs qu’ils s’acharnent à salir le pays pour plaire à leurs clientèles communautaires ? ».
« Un peuple qui oublie son Histoire est un peuple perdu » note encore M. Casali. Mais il est vrai que la politique de la tabula rasa visant à priver nos peuples de leur plus longue mémoire, ou plus exactement à en éradiquer les références qui ne vont pas dans « le bon sens », est un préalable indispensable au triomphe du totalitarisme mondialiste.