Symbole fort en effet que ce haut lieu de notre héritage historique, culturel, spirituel, qui manifeste la volonté du Vice-président du Front National d’enraciner le combat des nationaux pour une renaissance française dans notre plus longue mémoire, la modernité dans la tradition.
Une basilique profanée à la révolution par ceux qui servirent de modèles aux instigateurs et idéologues des totalitarismes sanglants du XXème siècle, saccagée par les fanatiques de la tabula rasa, précurseurs des sectateurs du mondialisme. Un édifice qui tombe aujourd’hui en ruine, ce qui ne semble guère émouvoir la « droite » au pouvoir (voir notre article en date du 12 mai).
Un trésor architectural environné désormais par la laideur grise d’une urbanisation inesthétique et sans âme, dans un département déserté par ceux qui l’ont pu, frappé de plein fouet par la crise, le drame de l’immigration de peuplement, le déracinement et l’insécurité.
En un mot le lieu idoine pour annoncer que le Front National ne se résigne pas, ne se couche pas, refuse un fatalisme étranger au génie de notre civilisation et entend relever les terribles défis sociaux, économiques, identitaires qui se posent à la France et aux Français en ce début de XXIème siècle.
Les jeux ne sont pas faits et Bruno Gollnisch entend bien en apporter la démonstration dans les mois qui viennent, à la tête de l’opposition nationale, populaire et sociale.
*http://www.jeunes-avec-gollnisch.com/2010/09/14/lancement-de-la-campagne-des-jag/