J’ai longtemps hésité avant de m’engager en faveur de Bruno Gollnisch dans cette campagne de succession à la présidence du Front National. En effet, même si mon coeur me dictait de me ranger du côté du candidat appuyant son projet politique sur une fidélité sans faille à la doctrine du mouvement et aux valeurs qui ont fait la France, j’étais toujours ancré dans la « mode Marine ».
Lorsque j’ai commencé à réfléchir sérieusement aux qualités et aux défauts de chacun, mes hésitations et mes doutes ont tout naturellement laissé place à une ferveur sans faille en faveur du seul candidat qui selon moi est capable de rassembler tous les courants de la droite nationale, raison d’être du Front National, ne l’oublions pas, et de « dé-diaboliser » sans revenir sur aucun fondamental ni faire aucune concession.
Chaque jour en lisant la presse, en écoutant la radio et en regardant la télévision, je me conforte dans mon choix en reconnaissant Bruno Gollnisch comme le leader nous représentant, nous les jeunes.
Candidat droit et dynamique, il sera un président pugnace et expérimenté, charismatique et cultivé au service de notre idéal et de notre espérance en un avenir meilleur pour notre pays.