Dans la ligne du sabotage de l’économie française qui caractérise l’action de ses dirigeants, la CGT persiste à organiser le blocage de routes, d’autoroutes, d’aéroports (comme celui de Toulouse), de ports maritimes, etc. Loin de gêner le gouvernement, ces blocages frappent avant tout les salariés qui se rendent à leur travail et les entreprises, et font peser une menace sur l’emploi.
En outre, ces actions délictueuses ne rencontrent la plupart du temps que la passivité des autorités. Elles n’ont cependant rien à voir avec le droit de grève, ni avec le droit de manifester.
Le droit de grève, c’est le droit de cesser collectivement le travail, et rien d’autre.
Le droit de manifester, c’est celui d’exprimer son opinion, et rien d’autre.
La CGT doit être rendue civilement et pénalement responsable de ses agissements. Ses dirigeants doivent en répondre. Nul en France n’est au-dessus des lois, et surtout pas cette organisation, directement responsable, entre autre, du déclin des ports de Marseille, du Havre, et de bien d’autres entreprises françaises.