Il s’est arrêté assez longuement sur un sujet qui lui est cher, celui de nos libertés sociales et économiques, prônant l’instauration d’un protectionnisme social pour défendre l’emploi français, la baisse de la pression fiscale, un soutien aux légitimes revendications des travailleurs… qui n’ont rien à voir avec leurs représentants autoproclamés des syndicats stipendiés, notamment les saboteurs de la CGT. Le vice-président du FN a cité comme exemples de réussite entrepreneuriale, le cas des élus frontistes et chefs d’entreprise Charles Perraut et Thibaut de la Tocnaye.
Sans surprise, Bruno a insisté sur la nécessité d’inverser radicalement les torrents migratoires et d’une relance d’une vraie politique familiale et nataliste, relevant au passage l’échec catastrophique de la loi Veil avec les 200 000 IVG pratiquées encore chaque année.
En politique étrangère, Bruno a rappelé son souhait de voir la France recouvrer son indépendance vis-à-vis de la technocratie euromondialiste bruxelloise, mais aussi de Washington et de l’Otan. Il a rappelé pareillement au détour d’une question l’opposition des nationaux dignes de ce nom à la politique de colonisation israélienne en Cisjordanie et notre reconnaissance des droits légitimes du peuple palestinien.
Il a également développé ses propositions pour le FN stricto censu, et l’impératif du rassemblement de toutes les énergies pour rendre possible la conquête du pouvoir. Tous les Français qui désirent sincèrement le redressement de la France sont les bienvenues au FN, un vœu partagé par le peuple des adhérents qui aiment les familles nombreuses… françaises !