L’élection de notre nouveau Président représente pour tous les militants un évènement majeur, qu’ils abordent à la fois avec espoir et inquiétude.
Elue à la Région Rhône-Alpes aux côtés de Bruno Gollnisch, je lui fais une confiance totale pour assumer cette lourde tâche, dont dépend l’avenir de notre nation.
Adhérente et militante depuis 1992, j’ai porté les couleurs du Front National dans toutes les batailles électorales, suivant sans état d’âme Jean-Marie Le Pen qui a fait de Bruno Gollnisch l’homme qui pourrait le remplacer en cas d’empêchement.
J’ai toujours envisagé l’avenir du Front National avec sérénité puisque la succession de notre Président serait assurée par une personne compétente, digne de confiance mais surtout fidèle à ses amis et à ses convictions.
Le moment venu, Bruno a donc présenté tout naturellement sa candidature, qui n’est pas une candidature d’ambition personnelle et son succès lors du congrès serait plus que légitime. Il est brillant, cultivé, sincère, pugnace ; sa dimension internationale, son courage, son abnégation, sa fidélité à Jean-Marie Le Pen, en font, pour moi, son héritier légitime.
Il a contribué à l’élaboration d’un programme qu’il mettra en œuvre avec conviction. Il saura redonner au Front National sa combativité et son efficacité, le mener au pouvoir et mettre en place les conditions d’une alternative au mondialisme.
Il souhaite rassembler tous les membres de la famille nationale, de la gauche patriotique à la droite sociale. Il saura attirer, sans compromission et avec diplomatie, d’anciens cadres et militants, même parfois venant d’une autre famille politique. Tous le rejoindront en partageant nos valeurs.
Bruno affirme qu’il est ouvert à un partage des rôles avec Marine Le Pen. Il ne faut donc pas se tromper d’objectif ni mélanger les échéances. Nous avons, en janvier 2011, à élire le successeur de Jean-Marie Le Pen et non pas le candidat ou la candidate à la Présidentielle de 2012 et Bruno est sans doute possible l’homme de la situation.