En votant pour Bruno Gollnisch lors de l’élection du futur Président du Front National, je serai pleinement confiant.
Prenons un exemple : la France attire un nombre considérable de migrants qui la considèrent comme un paradis ; nous, nous savons qu’ayant déjà perdu bien des qualités qui ont fait sa grandeur et son rayonnement, elle voit fuir à l’étranger des élites d’âges divers dont les ambitions légitimes ne peuvent être satisfaites dans notre pays en pleine décadence.
Dans un contexte moral, social, économique et politique alarmant, le Président d’un parti national doit être compétent, certes, mais il doit aussi par sa personne et son passé attirer et donner confiance aux générations montantes.
Bruno Gollnisch possède la Foi ainsi que les qualités morales et intellectuelles nécessaires à sa future fonction. Ses connaissances, la rigueur de ses jugements, son art de se décider, sont le fruit d’un long travail, mais aussi des expériences qui lui ont révélé les arcanes administratifs, universitaires, politiques, sociaux, donc humaines, de nos sociétés de plus en plus inhumaines.
Il a la « solidité », la résistance que forgent les difficultés quand on les surmonte et puis… le courage, celui que l’on ne peut faire semblant d’avoir quand tout s’avère hostile et dangereux.
C’est ainsi que je l’ai perçu dans mes relations avec le FN (présence personnelle sur plusieurs listes du Front National et divers droites), dans mes luttes universitaires, mes conférences à contre-courant, en France et à l’étranger, notamment en raison de mes convictions éthiques sur le respect de la vie (j’ai été membre du Comité Scientifique du FN). En somme, à travers mes difficultés quotidiennes et surtout de ce que je savais des siennes…
Il y a beaucoup à faire ; il peut le faire ; il veut le faire et il a déjà commencé.
Alors soutenons-le de notre mieux. Ardemment.