Je voterai pour Bruno Gollnish car il est, à mes yeux, l’héritier légitime du FN.
Comme Jean Marie LE PEN, qui incarna 50 ans durant, l’éternelle révolte du Juste contre le Tyran, Bruno Gollnish, aujourd’hui, poursuit âprement ce cri d’Antigone contre Créon, le « non possumus » chrétien de Blandine à Lyon, ou le « vive la France » de Bastien-Thiry au Fort d’Ivry.
L’officier Français parti, il y a 50 ans défendre l’Algérie Française a eu un fils spirituel qui, aujourd’hui, en toge de Doyen d’Université, défie les Palais de (in)Justice, en attendant de nettoyer au plus tôt les écuries d’Augias, si nous lui en donnons les moyens.
Pour cela, il a d’incomparables qualités. D’abord celles du marin qui sait que si l’habileté est suffisante pour faire face aux « coups de tabac », la boussole, elle, est nécessaire pour conduire au port.
A l’intelligence vive, non dénuée d’humour, il allie une grande Culture, issue du terroir alsacien profondément chrétien, d’une éducation exemplaire (laïque et religieuse), d’un parcours professionnel prestigieux, d’engagements politiques sérieux et clairvoyants, enfin d’études sociales et économiques approfondies d’où est issu l’édition officielle du Programme du FN.
De plus, il sait, de par sa profonde éducation, être avant tout bon et généreux, tempérer la vivacité de l’esprit par une courtoisie…ferme et polie. Cela fera son succès lorsque les médias ne pourront plus l’occulter !
Enfin, il tient du Chef auquel il devrait légitimement succéder, le refus constant d’avoir à honorer une Histoire qui, de Katyn à Gayssot, du « je vous ai compris » à « yes we can » continue de déboussoler la France, et avec elle l’Europe et le Monde.
Pour moi, exclu d’Algérie pour crime de francité, Bruno est bien l’héritier du Jean-Marie que j’ai aimé.