Le quotidien Le Parisien le relève, Dève-Oglou est un criminel sexuel récidiviste. « Douze ans auparavant, dans ce même RER, quelques stations plus loin, il avait violé une autre étudiante, blonde aussi, sous la menace d’un petit couteau. Troublante répétition de l’histoire »….
Répétition odieuse des agissements d’un détraqué que le laxisme de la justice n’a pas voulu mettre définitivement hors d’état de nuire comme l’a noté le père d’Anne-Lorraine Schmitt qui se bat depuis le « massacre » de sa fille « contre les criminels récidivistes et les remises de peine.»
Rédacteur en chef à Valeurs Actuelles, hebdomadaire où Anne-Lorraine fut stagiaire, ce qu’écrivait au moment de ce drame Frédéric Pons sur son blog reste d’une terrible actualité : «une nouvelle fois la peine de mort a été appliquée par un loup qui n’aurait pas du se trouver en liberté. On sait pourtant que les délinquants sexuels sont très difficiles à réintégrer, voire impossibles. Le doute est toujours présent, les risques immenses.
Mais dans le doute, qui faut-il privilégier ? Le criminel ou la future victime ? N’est-ce pas la responsabilité de la société – les politiques à défaut des juges – d’éliminer ses éléments les plus dangereux ? La peine de mort est abolie, sauf pour les victimes innocentes. Il faudra faire le compte un jour des dégâts irréparables commis par tous ces malfaisants remis en liberté (…). Quand ressortira-t-il de prison ce violeur au couteau ? 8, 10, 15 ans ? Notre société doit avoir le courage de l’éliminer définitivement de la circulation, lui et tous les tueurs et violeurs d’enfants ».