lepetitjournal.com nous explique-t-il, « sollicite ses lecteurs pour participer à un sondage en ligne, Et vous, pour qui allez-vous voter à la Présidentielle ?, réalisé en collaboration avec l’institut de sondage Opinionway ,afin de connaître les intentions de vote des Français de l’étranger à la prochaine élection présidentielle »
« Le sondage est présenté, sur le courriel reçu, en ces termes :Pour la première fois, plus d’un million de Français sont appelés aux urnes hors de France : ce vote peut faire basculer un scrutin qui s’annonce indécis.Votre quotidien, lepetitjournal.com, partenaire de l’émission politique France 2012 de TV5 Monde, a décidé de vous donner la parole en lançant le premier sondage dédié au choix politique des Français de l’étranger. »
Après les questions d’usage, (savoir si lecteur sondé est Français, inscrit sur les liste électorales auprès du consulat, s’il est probable qu’il aille voter….) « arrive la question sur le choix du candidat au premier tour puis celle sur la certitude du choix du sondé. »
« Enfin, indique Pascal, sont proposées des questions sur le second tour du scrutin en trois cas de figure.Le premier cas de figure propose comme candidats : François Hollande / Nicolas Sarkozy. Le deuxième cas de figure propose comme candidats : François Hollande / François Bayrou. Le troisième cas de figure propose comme candidats : François Bayrou / Nicolas Sarkozy »
« Vous avez bien lu ! », s’indigne Pascal, « François Bayrou est supposé présent au second tour mais pas Marine Le Pen et ce, alors que tous les sondages, sans exception, positionnent Marine Le Pen devant François Bayrou depuis des mois !»
«Voilà comment l’institut de sondage manipule les esprits… en éliminant d’office la candidate située en troisième position pour proposer celui en quatrième position… sans attendre les résultats du sondage pour le premier tour.L’institut de sondage choisit donc les candidats présents au second tour à la place des sondés! »
Une manip qui n’est pas pour surprendre Bruno Gollnisch qui connaît toutes les grosses ficelles utilisées par nos adversaires institutionnels…