Est-à dire qu’une frange de nos compatriotes aux revenus modestes seraient secrètement mais profondément « travaillés » par des forces obscures bien décidées à renverser notre régime de roumis décadents et mécréants? Ou faut-il entendre par quartiers populaires des zones dans lesquelles les pouvoirs publics ont laissé s’entasser une population, dont une fraction non négligeable ne veut pas ou ne peut pas s’assimiler à la France, voire est animée par un ressentiment violent contre notre pays ?
Cette manière de maquiller la réalité derrière des mots valises, fourre-tout, ne trompe bien évidemment plus grand monde mais ce vocabulaire fait partie de la liturgie obligatoire des servants et grands prêtres la religion immigrationniste et antiraciste.
C’est pourquoi, nos médias ont feint de découvrir, comme à chaque fois, les réactions en fait bien prévisibles générées dans un certain nombre de communes et d’établissements scolaires par la mort de Mohammed Merah : tags et réflexions antijuifs , refus de la minute de silence décrété dans les établissements… du moins dans les classes qui n’ont pas renoncé à la faire…
Tous les vieux chevaux de retour et les alimentaires de la haine de la France française s’accrochent toujours à l’idée d’une union sacrée des minorités. Elles agiraient ainsi main dans la main pour faire reculer une intolérance constitutive d’une « idéologie française » comme l’écrivait le piètre Bernard-Henry Lévy, dont Mohammed Merah ne serait finalement que l’héritier !
Ils refusent de voir qu’au-delà d’un certain pourcentage, une minorité ethnico-religieuse ne s’intègre plus, ne s’assimile plus au sein du pays qui l’accueille. Ils sont incapables de comprendre, aveuglés par leur projet, leur mythe d’un avenir babélisé et métissé inéluctable, que les sociétés multiculturelles sont toujours et partout multi-conflictuelles, que les sociétés multiraciales sont implacablement multi-racistes. Ils feignent ( ?) aussi d’ignorer que beaucoup des « jeunes des quartiers », dont ils sont les porte-paroles autoproclamés, vomissent leur progressisme, leurs références, leur « sionisme », réel ou supposé…
Bruno Gollnisch le rappelait au moment de la campagne interne, « le problème du terrorisme intellectuel qui sévit dans notre pays est une question centrale. Terrorisme intellectuel qui consiste à mettre en face d’une catégorie de suspects de coupables présumés, la plupart du temps les défenseurs de l’identité française qui refusent l’immigration de peuplement, une catégorie accusatrice, les grands prêtres du culte cosmopolite et autres autorités morales ».
« Preuve de cette dérive sectaire et totalitaire, il est d’ailleurs significatif que derrière l’emploi de termes comme raciste et antiraciste , nous ne trouvons pas une doctrine susceptible d’être réfutée. Il s’agit d’une pure logomachie, jusqu’ici d’une surprenante efficacité, bref d’une réussite dans une de ses opérations de guerre sémantique qui caractérise notre époque. »
« Le but de cette opération de diversion menée par la caste politico-médiatique et ses relais intellectuels est d’interdire d’examiner avec le sang froid nécessaire le type d’invasion que subit la France sous le nom d’immigration, d’évaluer les dommages déjà faits à l’identité française et de décider de la forme que doit prendre la résistance. Le but de cette grosse diversion, l’opération antiracisme , est de faire en sorte que la situation ne soit pas examinée. »
« L’antiracisme des idéologues français, chez ceux qui ont réellement un projet, une volonté politique de modifier la teneur de la population française, ferait que le terme France, en cas de réussite de cette opération d’invasion acceptée, change tout à fait de sens. Mais comme nous l’avons vu, le mot France n’a justement pas le même sens pout eux et pour nous… »
« Supposons cette opération réussie, l’idée de la France comme œuvre historique de lignées où le regard rétrospectif de l’observateur peut discerner quelques chose comme une volonté, comme une collectivité ayant une mémoire, étant un passé et se concevant elle-même comme le présent et le passé, cette idée est effacée. Il n’y a plus de France. » Encore faut-il que les Français en soient pleinement conscients…