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Contre le mondialisme, pour la révolution patriotique, populaire et sociale

 

Passer la barre des 20%, mettre à bas l’étouffante et stérilisante domination de l’UMPS, permettre enfin la nécessaire recomposition du paysage politique français en rendant incontournable une opposition nationale apte demain à exercer le pouvoir…Tels sont les objectifs qui sont poursuivis depuis toujours par le Front National et rappelés par Marine tout au long de cette campagne.

La candidate du FN l’a répété ces derniers mois et encore hier sur l’antenne de France Inter, au delà des étiquettes, des divisions du passé, la vraie fracture qui traverse aujourd’hui les partis et les corps constitués se situe entre partisans des souverainetés et des identités nationales d’un côté et thuriféraires d’un mondialisme plus ou moins radical et totalitaire  de l’autre. «Je suis pour une recomposition de la vie politique, au travers d’une fracture qui n’est plus une fracture gauche-droite, que je trouve dépassée et artificielle». Le vrai clivage oppose «ceux qui croient encore en la France, en l’État-nation et ceux qui ne croient plus en l’État-nation» a rappelé Marine.

Non pas l’Etat démissionnaire, qui fait mine de,  mais  soumis en réalité au parti de l’étranger, qui a donné à l’entité bruxelloise les clés du coffre, le modèle défendu par MM. Hollande et Sarkozy ; non pas l’Etat élevé au rang d’idole, inquisiteur, oppresseur, prédateur, vaste usine à fabriquer des mégots, la structure d’essence soviétoïde défendue par le Front rouge de M.  Mélenchon. Non, mais un Etat national, protecteur, garant de nos libertés,  assurant  l’ordre et la justice sociale, et assumant pleinement ses fonctions régaliennes.

Une nouvelle fois,  toutes les forces du Système se sont liguées pour faire barrage aux nationaux. Et c’est bien sûr à Marine et au FN que M. Mélenchon, dont on ne peut occulter le talent et la fougue oratoire, a réservé ses coups les plus durs  lors de sa dernière réunion publique hier soir à Paris devant environ 30 000 personnes Porte de Versailles. Le candidat de l’internationale communiste qui connait la force des symboles et des mythes, a invité à la fin de son discours les personnes présentes à former une chaîne  maçonnique en se tenant par la main pour se jurer de «rester unis» et  prononcer  «le serment de la Porte de Versailles», serment  de  lutte contre la renaissance nationale.

Auparavant, « sous les applaudissements et quelques youyous » a précisé Libération, il a égrené les poncifs classiques des officines mondialistes et autres clubs philosophiques en faveur de la poursuite des flux migratoires. Il n’a pas hésité pour se faire à utiliser des arguments dont la pauvreté dialectique contraste avec la réelle intelligence du personnage : «Je le dis et j’en suis fier : tout le monde mange des merguez et du couscous dans ce pays, l’intégration est réussie !» Difficile de faire plus con…venu.

L’obsession des communistes reste bien de « battre » la droite nationale, « arriver devant le FN dimanche est un impératif » …tout en apportant leurs voix à François Hollande, car « il y aura un appel très clair à battre Sarkozy», a confirmé Eric Coquerel, conseiller du candidat du FG. Le directeur de campagne de ce dernier, François Delapierre, a avoué de nouveau que « si on arrive derrière Le Pen on sera déçu, c’est sûr. Mais on fera la liste de ceux qui ont aidé Le Pen.» Car selon lui, les médias, «le système a défendu Marine Le Pen» ! Plus c’est gros, plus ça passe?

Dans les faits, l’oligarchie mondialiste s’est toujours accommodée, voire appuyée sur les altermondialistes à la sauce rouge, unanimité contre le FN que l’on retrouve de la Commission européenne à la plus obscure des sectes trotskystes. Les tenants de ce système global de domination, d’esclavage et d’asservissement des peuples n’ont qu’un seul véritable adversaire, à savoir une opposition nationale qui regroupe les résistants au Nouvel ordre mondial, les partisans de la nation, les défenseurs de l’enracinement.

«La Liberté n’est pas faite pour les coeurs faibles»  disait Dostoïevski. Face aux défis immenses qui nous attendent, Marine et le FN en appellent  au courage, à la lucidité  et au sursaut dont notre pays,  qui a  tant apporté au monde,  a toujours su faire preuve tout au long de sa longue et tumultueuse histoire.    C’est bien  à  un choix crucial, déterminant pour l’avenir de notre nation,  que sont conviés nos compatriotes dimanche prochain.   Pour les Français qui entendent vraiment le rester et ne pas courber l’échine affirme Bruno Gollnisch , il n’y a bien qu’un vote possible le 22 avril, afin de faire dans les urnes la nécessaire révolution patriotique, populaire et sociale.

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