Le Tribunal Pénal International pour l’Ancienne Yougoslavie (TPIY) vient d’abandonner toutes poursuites à l’encontre de Vojislav Seselj, dirigeant nationaliste serbe , sur la détention duquel j’avais (en vain) tenté d’alerter le Parlement Européen.
On en conclut que Vojislav Seselj, qui s’était rendu de son plein gré au TPIY en 2003, a passé treize ans de prison pour rien.
On doit au moins se poser la question du rôle du procureur de cette juridiction.