Sur la foi d’une information erronée, France 2 a annoncé à 8 heures qu’il m’était réclamé par l’administration du Parlement Européen la somme de 380.000€ correspondant aux salaires et charges sociales d’assistance parlementaire depuis de nombreuses années.
J’oppose un démenti formel à cette information. J’ai fourni des preuves surabondantes et irréfutables du travail effectif de mon assistant parlementaire, et je n’ai fait à ce jour l’objet d’aucun ordre de reversement de quelque somme que ce soit.
Le fait que des sources proches des dirigeants administratifs du Parlement, tenues au secret professionnel, diffusent apparemment à la presse des « informations » dont je n’ai même pas connaissance démontre, s’il en était besoin, le caractère politique, partisan et arbitraire de l’ensemble de ces procédures.