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Dehors!

ouvrez les yeuxL’Express publie aujourd’hui des extraits  du  livre des journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Un président ne devrait pas dire ça, condensé de leurs conversations avec François Hollande. Le président de la république, est-il rapporté, affirme qu’en cas d’affrontement  Marine Le Pen-Nicolas Sarkozy au second  tour de la présidentielle, en mai 2017, il voterait Sarkozy sans hésiter. « Oui, moi je le ferais. J’irais, pour voter contre Le Pen. Il faut se rappeler, c’était déjà très dur pour moi d’appeler à voter Chirac en 2002 (…).  S’il fallait appeler à voter Sarkozy, on le ferait».  Une solidarité antinationale qui ne fait que confirmer que le vrai clivage en ce début de millénaire est bien entre défenseurs des identités et des souverainetés nationales d’un côté et euro mondialistes, atlantistes de l’autre. Faut-il s’étonner de la même façon du refus, puis de la valse-hésitation de M. Hollande sur l’opportunité de recevoir Vladimir Poutine –sa visite à Paris pour l’inauguration d’un centre orthodoxe était prévue le 19 octobre-  au motif qu’il n’entend pas desserrer l’étau militaire sur les milices islamistes anti Assad, à Alep comme ailleurs?

Une attitude pusillanime, de soumission à Washington,  humiliante pour notre pays, qui n’a bien sûr pas échappé à M. Poutine qui, cruellement, a déclaré  qu’il restait « disposé à visiter Paris lorsque le président Hollande se sentira à l’aise »… MM. Hollande, Ayrault parlent de crimes de guerre pour définir les frappes aériennes russes. Toutes choses dont ils ne soufflent mot quand leurs amis saoudiens notamment  soutiennent les égorgeurs, bombardent les populations au Yémen, exécutent à tour de bras…

Même hypocrisie, même faux-semblant dans l’annonce de Manuel Valls hier, réagissant à la dramatique  agression au cocktail Molotov, faite pour tuer,   de policiers par des racailles, des coupeurs de route à l’africaine,  de la cité plurielle de la Grande Borne samedi dans l’Essonne. Le Premier ministre a évoqué  la généralisation de tenues ignifugées pour les forces de l’ordre, de dispositifs anti-caillassage et/ou de blindages sur les voitures de police évoluant dans les quartiers babélisés.  Les Français attendent autre chose d’un gouvernement confronté aux violences des bandes ethniques sur fond d’un terrorisme se nourrissant de la même haine de la France et des Français.

On l’a appris ces dernières heures par un article du Parisien,  le maire  FN  de Cogolin,  Marc-Etienne Lansade , était visé  « pour le symbole »  par un projet  d’attentat qui devrait être commis  par une jeune  convertie à l’islamisme,  Sarah Hervouët . Celle-ci a été interpellée le 8 septembre en compagnie dAmel Sakaou et Inès Madani par l’antiterrorisme ,  pour leur lien avec le djihadiste «français» Rachid Kassim  opérant en Syrie, dans le cadre de la préparation supposée d’une attaque aux bonbonnes de gaz.

Toutes vérités qui ne sont pas bonnes à dire ?  Ainsi  Marie-Christine Arnautu, chef de l’opposition FN au conseil municipal de Nice s’est vu refuser  sa tribune qu’elle dans le Journal des quartiers: « Nous avions décidé de consacrer cet espace à la dénonciation des propos de l’imam d’une des mosquées du quartier, Abdelkader Sadouni, ainsi qu’aux rapports que Christian Estrosi entretient avec celui-ci » a précisé Marie-Christine.

L’imam  Sadouni  est au cœur d’une polémique depuis la publication d’un  entretien  accordé par cet imam algérien vivant à  Nice dans le  journal italien Il Giornale, le 21 juillet 2016.  Un entretien ou les propos suivants ont été  notamment rapportés: « S’il y a des attentats, c’est la faute de la laïcité des Français« . « La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de l’utilisation publique de symboles religieux sont les motifs qui poussent ces jeunes à se sentir exclus de la communauté nationale et à décider de partir pour s’unir à qui ils retiennent être comme eux. Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse beaucoup de jeunes au combat. Tant que les mosquées seront si peu nombreuses, tant que leur construction causera des protestations, tant que les musulmans seront discriminés, alors ces réactions existeront. »

A suivre ce « raisonnement » ce serait donc  par une immigrations-islamisation accrue que les musulmans pourraient s’intégrer dans une France…islamisée. Précisons que M. Sadouni a déclaré avoir  été « piégé » par le journaliste et que ses propos avaient été « déformés ». Il  aurait porté plainte contre ce journal,  propriété du frère de Silvio Berlusconi.

Pour autant, le Niçois et Conseiller régional FN Philippe Vardon, à l’origine d’une pétition d’environ 10 000 signatures en faveur de la fermeture de la mosquée d’Abdelkader Sadouni,  garde en sa possession certains posts Facebook de cet imam datant d’il y a deux ans  (et aujourd’hui supprimées…)  qui, déjà,  « expliquent le djihad par l’absence de construction de mosquées en France et par l’islamophobie ambiante » et « émettent des doutes sur la réalité des vidéos d’égorgements de Daech« .

Bruno Gollnisch l’affirme, tous les Français d’origine musulmane ne se reconnaissent pas dans les propos des propagandistes islamistes, et exigent eux aussi la fin d’un laxisme et d’un immigrationnisme criminels qui conduisent  à la guerre civile, au chaos multiconflictuel et multiculturel.  Une très grande majorité des  Français partagent, parfois sans le savoir, les analyses et les vœux de l’opposition nationale sur ces questions.  La lutte contre le fléau du terrorisme et de la délinquance-guérilla antifrançaise passe par l’application du programme du FN: démantèlement  des mosquées et autres centres culturels salafistes, expulsions des  immigrés radicalisés et  délinquants,  peines lourdes  et exemplaires contre les  voyous agissant  (ou  non)  au nom du djihad… Et plus largement refonte  du Code de la nationalité,  fin du regroupement familial, inversion des flux migratoires dont la poursuite interdit mécaniquement toute assimilation, fin de la repentance  et  de l’enseignement de la haine de la France jusque dans les manuels de l’Education nationale, interdiction des ingérences étrangères dans nos banlieues, sur fond de complaisances coupables, contaminant  jusqu’au sommet  de l’Etat, avec certaines pétromonarchies prosélytes…

 

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