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Onze « tricolore » : l’imposture antiraciste

Des performances sur le terrain frisant le ridicule, des insultes, une exclusion des démissions, des  portes qui claquent, des altercations,  un entraîneur-sélectionneur  ko debout,   un  communiqué de fronde contre les instances de la FFF, le refus de participer à l’entraînement… : le pitoyable spectacle qu’offre l’équipe de France de football fait de notre pays la risée du monde entier et ce n’est  pas la présence  de Roselyne Bachelot,   en Afrique du sud pour soutenir « les bleus » qui arrange le tableau…

La presse française et internationale tirent désormais  à boulets rouge contre un  onze « tricolore », oscillant depuis les qualifications pour ce  Mondial   entre suffisance déplacée et insuffisance criante sur le terrain, équipe qui, ô combien  symboliquement,  a obtenu son billet pour  cette compétition par une tricherie, la fameuse main de Thierry Henry face à l’Irlande.

 Quant au spectacle de la femme du néo-mahométan Ribéry, descendant de l’avion amenant les femmes des joueurs  en Afrique du sud,  en arborant un teeshirt aux couleurs de l’équipe algérienne, il est tout autant révélateur de l’absence totale d’intelligence et de repères de cette équipe, mais aussi de ceux chargés de veiller sur son image…

Encensée au début de ce mondial par les nostalgiques de l’épopée « black-blanc beur » de 1998, notamment par un  Cohn-Bendit qui au nom de la dictature de la  diversité, se réjouissait du caractère très pluriel de la sélection française, force pourtant est de constater que cette équipe paye au prix fort son absence d’homogénéité.  Un agrégat d’individualités et d’égoïsmes qui  ne parvient pas à se transcender en portant les couleurs de la France. Mais évoque-t-elle encore quelque chose pour ces mercenaires millionnaires, déjà incapables de chanter notre hymne  national lors des compétions internationales ?

Bref, comme l’a bien vu Eric Zemmour sur I-télé, nous touchons là une nouvelle fois à l’imposture de l’antiracisme militant, ayant présidé pour une large part à la composition de cette équipe déchirée par des rivalités : musulmans (convertis ou non) contre non musulmans, antillais contre africains, blancs contre noirs, racailles issus des cités contre de souche de province – le breton Yoann Gourcuff aurait été mis sur la touche du fait  de l’animosité « culturelle » qu’il subirait de la part  d’autres joueurs…–   tout ce beau monde retrouvant un semblant d’unité pour contester l’autorité de l’encadrement et de la fédération… Au final, cette équipe babélisée donne  l’image de l’impuissance et de l’anarchie,  un triste résumé du déclin français.

 

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