Une Seine-Saint-Denis qui chaque jour davantage s’apparente à un Kossovo en gestation. L’exemple de cette province serbe, berceau historique de la foi orthodoxe, dont la population autochtone vit aujourd’hui sous l’implacable domination démographique, politique, religieuse et culturelle de l’immigration albanophone doit inviter l’ensemble de nos compatriotes à la réflexion…
Il n’est pas étonnant que la mairie détenue par le parti communiste, est hurlée à la « provocation » en apprenant la venue de Bruno Gollnisch dans « une ville multiculturelle où vivent et travaillent des personnes de 130 nationalités différentes » a vociféré son maire, Denis Paillard.
Rappeler son attachement aux racines de notre pays, sa volonté de défendre son identité, sa souveraineté, l’idéal de justice sociale, de libertés et de solidarités nationales sont en effet forcément une « provocation » par un parti communiste qui se vautre depuis toujours dans la trahison de notre peuple, la collaboration avec le parti de l’étranger. Du relais des mots d’ordre de Moscou hier, à l’acceptation aujourd’hui des oukases immigrationnistes du mondialisme, la nature profonde du PC n’est plus un mystère pour grand monde.
La « fête » n’aurait pas été complète hier sans la manifestation anti FN qui a réuni quelques dizaines de décérébrés, rameutés principalement par le NPA, qui ont joué eux aussi à la perfection leur rôle de supplétifs du Medef et du Système. (voir la vidéo)
Dans la même veine, doit on s’étonner de ce que les responsables de la basilique Saint-Denis en ait interdit l’entrée à Bruno Gollnisch. Il est vrai que l’opposition du vice-président du FN à la « culture de mort », son attachement maint fois répété aux racines chrétiennes de la France et de l’Europe rendait sa présence en ce lieu forcément insupportable…
Invité ce matin sur France Info, Bruno Gollnisch a réaffirmé son souhait de rassemblement le plus large possible autour du Front National et non uniquement des ex FN, des petits partis et formations gravitant dans l’orbite de la mouvance nationale.
« Je ne rassemble pas l’extrême droite a-t-il précisé, ou alors il faut admettre que ceux qui étaient chez nous et qui nous ont quitté était d’extrême droite et on aurait mis longtemps à s’en rendre compte ! Je veux rassembler tous ceux qui, de la droite sociale, pas libérale, à la gauche patriotique, ont par exemple massivement rejeté la disparition de la France lors du referendum sur la constitution européenne. Les militants feront leur choix, il y a une compétition, elle est loyale, que le ou la meilleure gagne ! ».