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Les collabos du Nouvel ordre mondial n’ont pas de leçons à nous donner !

Le service public diffusait  avant-hier  soir un documentaire sur le Maréchal Pétain  des années  noires de l’occupation. Un portrait à charge, forcément, sans les nuances apportées sur l’action du chef de l’Etat français par d’authentiques résistants, de Vichy ou d’ailleurs… Nous ne rouvrirons pas le débat ici, il est l’affaire des historiens.  Mais nous   constatons une nouvelle fois que la chape de plomb du politiquement correct et le totalitarisme culturel qui dénient le droit de penser « hors des clous » a encore frappé  à la suite de la Fête patriotique  de Villepreux. Bruno Gollnisch a été ainsi attaqué  pour avoir  répondu  en public  à la question d’un internaute  sur « la place du  Maréchal Pétain dans le récit de l’histoire de France », étant souligné ici que le nom du vainqueur de Verdun « avait été totalement occulté par les grands médias lors de la  commémoration du 11 novembre ».

  Certes, Bruno Gollnisch aurait pu éluder la question, pour éviter les critiques de ceux qui considèrent qu’il ne fait pas assez de concessions  pour se faire bien voir des gardiens du bon goût médiatique. Mais le courage consiste aussi à ne pas accepter le discours dominant  de la caste au pouvoir, à refuser aussi l’omniprésente  propagande  de repentance et de  culpabilisation des Français, laquelle  ne fait que croître au fur et à mesure que cette page sombre de la défaite de 40 s’éloigne dans le temps.

« (Philippe Pétain) doit avoir la place que mérite la vérité a donc expliqué le Vice-président du FN. La vérité d’un régime corrompu et incapable de dirigeants élus par le Front populaire, qui, dans la catastrophe à laquelle ils ont été incapables de faire face, se sont lamentablement débinés et ont refilé à ce vieillard l’ardoise de leurs erreurs […] Je dis simplement ceci: il y a des gens de bonne foi qui ont suivi Pétain, il y a des gens de bonne foi qui ont suivi De Gaulle, qu’on arrête de nous emmerder avec toute cette histoire! ». 

  « Ce dont je suis sûr en tout cas, a ajouté le candidat à la succession de Jean-Marie Le Pen,  c’est que les dirigeants actuels sont 100 fois plus coupables, si tant est qu’il l’ait été, que le Maréchal Pétain. Il avait au moins une  excuse, celle d’une armée victorieuse et implacable qui campait sur le territoire national. Tandis que les traîtres qui sont aujourd’hui au pouvoir, c’est en toute connaissance de cause qu’ils bradent la France, qu’ils livrent son économie, qu’ils livrent son identité à l’étranger, portant atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, pour le seul profit de leurs intérêts abjects. » 

 En ce  début de millénaire   le souci des patriotes qui sont entrés en résistance contre l’occupation de notre pays  est bien  en effet de dénoncer pour ce qu’ils sont nos « dirigeants actuels » : des collabos  du Nouvel ordre mondial qui n’ont certainement pas de leçons de droiture, de  moralité et de probité à nous donner.

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