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« Eux » et « nous »…

C’est une « vision du monde »  diamétralement opposée  que défendent  les nationaux d’un côté, et de l’autre  les  Etats-Majors des partis du système, la très grande majorité du microcosme qui contrôle les commandes du pays légal. Entre « eux et « nous » il faudra que les Français qui entendent rester libres  fassent leur choix. Avant qu’il ne soit trop tard. Loin de toute démagogie, il appartient  au Mouvement national de désigner le bon cap, de faire œuvre de vérités, sans outrances, ni vaines provocations mais en refusant  de plier l’échine devant la police de la pensée.  

Dire la vérité aux Français est une des missions essentielles du FN. Bruno Gollnisch en a apporté une nouvelle démonstration lors de son passage à Craon hier -voir notre article publié aujourd’hui. Il  ainsi évoqué  une des causes premières des comportements agressifs et violents des jeunes africains dans nos banlieues, à savoir le drame du déracinement.

Jeunes Africains a-t-il relevé qui  « viennent de sociétés traditionnelles dont les cadres, à l’occasion de cette transhumance, ont été détruits. Ils ne respectent plus leurs parents, ne sont plus dans le cadre de la société traditionnelle voire tribale qui était celle de leur pays d’origine ». 

« Une situation qui découle  d’une  idéologie cosmopolite perverse comme Jean-Marie Le Pen l’a expliqué magistralement  à de nombreuses reprises » nous a confié Bruno. «  Situation qui  explique  le clivage essentiel  entre d’une part les sectateurs du Nouvel ordre mondial et de l’autre, les  défenseurs des identités et  donc défenseurs des nations. Ceux qui restent attachés au concept de nation sont liés, par là même, à certaines valeurs, d’honneur, de fidélité, d’incarnation, d’enracinement. Ils entendent défendre l’homogénéité de leurs peuples, l’intégrité de leur territoire, leur histoire, leur mémoire, leurs traditions et, par là, leur avenir ».

 « En ce sens, qu’ils appartiennent à un pays ou à un autre, ils parlent cependant le même langage, ont les mêmes repères et doivent donc pouvoir dialoguer. Plutôt que de se dresser les uns contre les autres, ils doivent s’efforcer de se comprendre et de s’unir pour faire front contre l’ennemi commun, contre ce Big Brother qui veut régir la planète, annihiler les différences,  qui souhaite un monde gris et tiède, sans racines et sans passé, sans mémoire et sans avenir. Tel est le sens du mot d’ordre  Nationalistes de tous les pays, unissez-vous !, que je fais mien ! ».  

 

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