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(Ré)éducation gaucho-mondialiste : le plus tôt sera le mieux…

Peut-on encore  compter sur les promesses et les manoeuvres  du Système ? La réponse du FN est connue. Vendredi l’UE et du FMI ont promis de sauver l’euro et une Irlande au bord de la banqueroute -voir notre article en date du 16 novembre-  en lui accordant  une aide financière massive.  En France suite aux derniers règlements de compte  sanglants à Marseille liés aux trafics  de stupéfiants, Brice  Hortefeux a promis de rétablir la sécurité,   comme d’habitude on va  voir ce qu’on va voir…le refrain, jamais suivi d’effets, est lassant. Dans le même temps les pires aberrations « antirépressives » ont toujours les faveurs du « microsome ».

 En déplacement dans le sud cette fin de semaine Marine Le Pen a rappelé le souhait du FN de rétablir la peine de mort pour les gros trafiquants de drogue meurtriers, d’assurer une échelle des peines cohérentes.

 Plus largement, une société qui évacue  la sanction et qui refuse de prendre en compte le mérite et les efforts au nom de la notion dévoyée d’ « égalité » va droit à sa perte.

 En ce sens l’appel lancé dans le Nouvel Obs, et qui fleure bon les désastreuses  utopies  anti-autoritaristes post soixante-huitardes,  par des « pédagogues », « enseignants » et autres « acteurs sociaux » en faveur de la disparation du système de notation des élèves à l’école primaire participe de ce suicide collectif.

 Le site Altermedia a opportunément mis en ligne sur son site l’intervention proprement hallucinante du sociologue Pascal Bavoux,  sur France-Culture jeudi dernier.

 Ce  dernier explique ainsi que pour  ne pas traumatiser « les enfants des quartiers populaires » –traduire les enfants d’immigrés non européens- il fallait supprimer un système de notation qui flirte de facto avec le fascisme. Notes qui donnent  le sentiment à ces enfants « de ne pas pouvoir y arriver ». Or dit-il, « le plus important est de favoriser   la coopération entre les élèves plutôt qu’une compétition qui est stigmatisante » dans « une  société française qui a mal à son vivre ensemble à sa cohésion sociale » (sic) .  Le citoyen Bavoux maîtrise bien les formules de son petit missel gaucho-mondialiste.

 M. Bavoux concède tout de même qu’il faut apprendre « à lire, à écrire, à compter » aux  têtes blondes et brunes , mais « l’autorité  (de l’enseignant) doit être comprise et non pas imposée et instituée ».  En un mot ce sont aux enseignants et aux petits gaulois de « s’intégrer » aux élèves issus de l’immigration et non l’inverse.

Bref une école  primaire transformée totalement   en un  vaste camp de (ré)éducation aux bienfaits de la société métissée, multiculturelle et multiraciale, en gommant toute hiérarchie qui bénéficierait de manière odieuse aux « de souche ». Au-delà du racisme inconscient et implicite de ce type de raisonnement –les enfants d’immigrés seraient donc sous-capables ?- il est révélateur du  refus, en gommant toute compétition et sentiment d’émulation, d’une instruction visant à  tirer vers le haut les élèves.

  Bruno Gollnisch a souvent insisté sur ce point,  le FN entend donner à l’école, les moyens nécessaires, non pour qu’elle éduque mais  pour qu’elle  instruise nos enfants, dans un climat non pollué par la politique et l’idéologie. L’éducation elle, dans une société libre digne de ce nom, est à la charge des parents. Mais il est vrai que les  notions mêmes de « papa »,  de « maman », de « familles »   sont désormais suspectes aux yeux des bien-pensants… du Nouvel Obs à  l’Elysée.

 

 

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