A l’heure des choix cruciaux, et ils approchent irrémédiablement, nos compatriotes sauront vers qui se tourner. D’autant que la véritable raison de cette diabolisation des patriotes et nationaux est leur refus de l’occupation étrangère, par le bas avec l’immigration de peuplement et par le haut avec le règne de la caste euro-mondialiste.
Bruno Gollnisch le rappelait dans son communiqué de soutien à Marine publié dimanche, « le système politico-médiatique ne saurait se satisfaire des gages qu’on lui donne. Il en veut toujours plus. Si on lui complait en paroles, il exige que l’on courbe la tête, puis l’échine, puis que l’on se mette à genoux, et ainsi de suite. La vraie dédiabolisation ne résulte que d’une chose : la prise de conscience par les Français de la justesse de nos analyses et de nos propositions ».
Si une association très proche du parti sarkozyste, comme l’Union des Patrons et des Professionnels Juifs de France (UPJF), par le biais d’un article publié par Lucien Oulahbib, a apporté son appui à Marine, cette inquiétude des politiciens de l’Etablissement se manifeste dans la cascade de déclarations catastrophées et indignées qui ont accueilli ce « dérapage ».
L’une des plus « croustillantes » est sans conteste celle de l’ ancien président de SOS-Racisme, l’apparatchik socialiste Malek Boutih. Hier sur Europe 1 il a estimé que les propos de Marine Le Pen, comparant les « prières de rue » des musulmans à « l’Occupation » était à mettre au crédit…de Bruno ! « Je pense a déclaré M. Boutih que l’on a affaire, malgré ce qu’elle dit, à une sortie de route, à un affolement de Marine Le Pen (…). Elle a cédé à une pression de (Bruno Gollnisch, ndlr), elle a voulu être plus royaliste que le roi. »
Chercheur au Sophiapol de l’université de Paris-Ouest-Nanterre, Sylvain Crépon, se livre implicitement à la même analyse que Malek Boutih en affirmant que « Marine Le Pen s’est rendu compte des limites de la dédiabolisation du FN : ça marche à l’extérieur, moins chez ses militants ».
Ces commentaires tout comme la multiplication des attaques contre le FN, prouvent de nouveau de manière flagrante que l’unité de notre Mouvement, et autour de lui de la famille nationale, sont plus que jamais une ardente nécessité.
Toutes les énergies doivent être mobilisées pour tirer dans le même sens afin d’être en situation d’arracher la victoire dans les années à venir. Dans ce cadre, la montée en puissance de Bruno Gollnisch dont cette campagne interne a révélé la stature à beaucoup de Français, le rend plus indispensable que jamais.
Il y a encore quelques mois il n’y aurait pas eu 2% de Français déclarant vouloir voter pour Bruno à la présidentielle. Malgré le criant déficit médiatique du vice-président du FN par rapport à sa concurrente, le dernier sondage réalisé par BVA indique que 8 % de nos compatriotes seraient prêts à voter Gollnisch en 2012 !
Cette notoriété renforcée sera aussi un gage de succès, de progression de nos idées et d’efficacité dans les difficiles combats électoraux à venir.