Site icon Le blog de Bruno Gollnisch

Islamisme : l’immigration en accusation

priere-de-rue-islamSelon un sondage Ifop pour France Soir paru ce  mercredi 61% des personnes interrogées (82% des sympathisants de  gauche) désapprouveraient les propos de Marine sur l’occupation de nos rues par les mahométans radicaux pour y prier, Bruno Gollnisch utilisant pour sa part dans les colonnes de ce même journal au sujet de cet accaparement de l’espace public le terme de « colonisation progressive » -voir notre article en date du 13 décembre. Jean-François Kahn, sur BFM-TV hier, a vu une manœuvre  de l’Elysée dans cette campagne médiatique de diabolisation  lancée contre les propos dénonçant cet agressif  prosélytisme islamique. Campagne  qui n’a apparemment pas l’effet escompté puisque ce même sondage indique que 54% des sympathisants de l’UMP (et logiquement 98% des sympathisants du FN)  approuvent  le parallèle établi  entre les « prières de rue » des musulmans et « l’Occupation ».

Ce qui confirme, soit dit en passant,  le bien fondé de la stratégie portée par  Bruno Gollnisch consistant à tendre la main  à la base   du parti sarkozyste  inquiète des conséquences de l’immigration de peuplement. Et de surcroît de plus en plus favorable à la rupture de la politique dite de « cordon sanitaire » autour du FN mise en place par Chirac et poursuivie par Sarkozy

Après le Mrap, la Licra, officine antiraciste proche de l’UMP et présidée par Alain Jakubowicz a violemment attaqué le FN, estimant hier qu’ « après les juifs, les arabes et les immigrés, le discours du Front National s’imprègne aujourd’hui d’une dialectique violente et raciste à l’encontre des musulmans ».

Avec la même mauvaise foi qui transpire la haine, le communiqué de la Licra poursuit : « S’il est vrai que certains de nos concitoyens musulmans annexent la voie publique pour prier, ce qui n’est convenant ni pour les pratiquants ni pour les riverains, ce constat met avant tout en exergue le déficit de lieux de culte auquel la France est confrontée et dont les représentants du Front National refusent systématiquement la construction . »

Il semble donc, aussi « étonnant » que cela puisse paraître, que Me Jakubowicz et ses amis soient les seuls à ignorer ce que leurs relations certainement assez intimes avec les allées du pouvoir devraient pourtant leur permettre de savoir.

C’est-à-dire que l’occupation de trottoirs entiers du quartier de la Goutte d’Or pour la prière du vendredi est organisée sciemment par les radicaux qui donnent  comme consigne  aux fidèles de la région parisienne de venir dans ce quartier à des fins de propagande idéologico-religieuse, pour marquer symboliquement l’annexion de celui-ci  comme « terre d’islam » (Dar es Salam).

Rappelons encore que l’islam, comme l’a souvent souligné le FN,  ne décrète pas l’obligation de prier dans une mosquée et que les prières rituelles peuvent être effectuées à domicile par les croyants. Ce qui explique d’ailleurs en partie  le refus du Front National de voir la France se couvrir de mosquées, a fortiori quand elles sont financées avec l’argent du contribuable, et bien souvent avec l’appui des municipalités dirigées par l’UMP, en opposition formelle avec la loi de 1905 sur la laïcité.

Enfin, Bruno Gollnisch a constamment insisté sur le fait qu’il s’agissait de ne pas confondre les causes et les conséquences, tant il est vrai que  les problèmes générés par le développement de l’ islam radical découle du phénomène de l’immigration de peuplement afro-maghrébine et turque.

Un homme libre et un journaliste honnête comme Robert Ménard l’a souligné hier soir sur RTL dans l’émission « On refait le monde » : «  Aujourd’hui, il y a 200 000 immigrés qui viennent chaque année en France, 80% arrivent dans le cadre du regroupement familial. 80 ou 90% sont musulmans.  Il faut arrêter ça ».

Et M. Ménard d’ajouter ce commentaire qui tinte tout aussi désagréablement aux oreilles des commissaires politiques du MRAP comme à celles  des inspecteurs de la « police de la pensée » de la Licra : « Quand je vais dans un village de l’Aubrac, j’aime qu’il y ait une église. Je n’ai pas envie qu’il y ait un minaret dans tous les villages de France. »

C’est cela la réalité,  le sentiment d’une majorité de nos compatriotes : ils  entendent garder leur identité, ils sont  en total décalage  avec  cette hyper classe politico-médiatique  imbibée de ses dogmes antinationaux, de son idéologie cosmopolite.

Quitter la version mobile