D’après cette enquête, 34% des parents se querellent sur la garde, 39% sur les visites, 61% sur la pension et 30% sur l’éducation. Pour 74% des sondés, le divorces a des conséquences financières sur le niveau de vie.
En outre 63% des enfants de parents divorcés déclarent avoir énormément souffert de la séparation de leurs parents, laquelle est invoquée par une majorité des enfants de divorcés comme une cause d’anxiété, de manque de confiance en soi, de démotivation… 40% des enfants n’ont pas maintenu de liens réguliers avec le parent qui n’avait pas la garde .
Une enquête qui démontre l’importance de la cellule familiale. Une déréliction des liens familiaux, et plus largement organiques, communautaires, culturels, nationaux, qui sont à l’évidence la cause du mal être de beaucoup de des citoyens de nos sociétés occidentales mondialisées.
Un fait à prendre en ligne de compte à l’heure de la promotion, si ce n’est de la propagande, en faveur de la «famille recomposée » toujours « géniale » dans les séries télévisées…ce qui est loin d’être toujours le cas.
Mais aussi face à l’offensive en faveur du mariage gay et de l’adoption par les couples homos, lesquels ne nous apparaissent pas de manière générale comme des modèles viables de stabilité, d’épanouissement et de développement psychologique harmonieux de l’enfant. L’intérêt de l’enfant ne commande certainement pas de marginaliser la famille traditionnelle.