Vous l’avez compris, comme dans la très grande majorité de cas, ces immigrés hors la loi ont été finalement invités à rester sur le territoire français et sont ressortis libres de cette audience. La juge Céline Van Muyldert, a notamment considéré que ces derniers n’avaient pas bénéficié de la directive européenne qui accorde le droit à tout étranger prié de quitter le territoire européen d’opter pour un départ volontaire et, par conséquent, de bénéficier d’un délai pour mettre en oeuvre cette décision.
Dans l’esprit des euromondialistes bruxellois il est en effet inadmissible que les pays membres de l’UE gardent leur liberté de décider de l’heure de départ de tel out tel immigré présent illégalement sur leur sol. Au nom des droits de l’homme certainement…
Soutenus bruyamment par une trentaine de militants d’extrême gauche du Réseau Education Sans Frontière (RESF), les clandestins africains étaient défendus par l’avocat rouennais Me Selsuk Demir.
Celui-ci a argué notamment que les tests osseux sont « un examen dont les résultats sont juridiquement discutables puisqu’ils ne peuvent être fiables à plus ou moins six mois ». « Ils utilisent par ailleurs un atlas de données uniquement basé sur une population génétiquement européenne », a-t-il relevé.
Il est vrai que les races existent quand cela arrange le lobby antiraciste et immigratioinniste… et qu’elles sont uniquement un mauvais fantasme rappelant « les heures les plus sombres de notre histoire » quand il s’agit de nier l’identité physique des peuples de notre continent.
Identité qui est, elle aussi aux yeux des technocrates bruxellois, largement incompatible avec la seule religion officielle de l’entité européiste, celle des droits de l’homme.