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De La Rochelle à Marseille, rien de nouveau sous le soleil…

Le quotidien Libération l’a rapporté, les militants du Parti de Gauche étaient réunis à Grenoble « (pour plancher) en atelier sur les moyens d’enrayer les manœuvres de Marine Le Pen ». « Jean-Luc Mélenchon avait prévenu: Mon adversaire, c’est elle. Un aveu un brin maladroit, d’autant ce que cette étalage de haine anti-FN n’est certainement pas la priorité des Français, même de gauche. Du côté du PS, la photo de famille » clôturant hier leur université d’été à La Rochelle, a montré des candidats à la primaire qui affichaient tous le sourire « unitaire » de circonstance, unité que l’on retrouve grosso modo dans les grandes orientations des prétendants.

Pour autant Martine Aubry remporte jusqu’alors haut la main la palme de la grosse démagogie socialiste avec sa promesse dernièrement de doubler le budget de la culture. Ce qui en cette période de crise, lui a tout de même valu les commentaires assassins de ses petits camarades…

Dans le registre des propositions, Arnaud Montebourg a été peut être le plus intéressant en osant remettre en cause dans son dernier ouvrage la doctrine ultra-libre échangiste européiste en en appelant à un retour ,certes timide, à un certain protectionnisme…Pour le reste, le PS se veut plus que jamais le parti de défense des « minorités » et de la fuite en avant communautariste – financement et poursuite de l’immigration par l’augmentation des impôts, mariage gay.. ;- comme celui de la Turquie dans l’Europe.

Mais comme l’a souligné à de nombreuses reprises Bruno Gollnisch, que les « minorités » deviennent la majorité (ou presque) comme à Marseille, et l’on entrevoit assez vite l’avenir chaotique que propose les immigrationnistes à nos compatriotes. La capitale phocéenne accueille ce lundi un nouveau préfet délégué à la défense et à la sécurité, le sarkozyste Alain Gardère. Il remplace Gilles Leclair, arrivé à Marseille… en décembre, lui-même en remplacement de Philippe Klayman, resté moins de 18 mois… Une ultime tentative pour empêcher la ville, du moins avant l’élection présidentielle, de sombrer un peu plus dans le chaos.

Selon les dernières statistiques, au premier semestre 2011, les cambriolages ont augmenté de 14% dans les Bouches-du-Rhône par rapport à la même période l’an dernier, les vols à main armée de 18%, et de 40% à Marseille. Il se dit que l’affaire du parking abandonné par le concessionnaire Vinci à de « jeunes » délinquants exigeant un « droit de passage » aux automobilistes aurait déclenché la colère du Président de la République. Un racket organisé, symbole parlant et médiatisé du recul de l’Etat de droit, qui a précipité la chute du préfet Leclair

Dans un entretien au quotidien La Provence ce dernier était d’ailleurs assez explicite sur les raisons de la tiers-mondisation accélérée de Marseille et sur l’africanisation de ses mœurs : « je ne suis ni le sauveur, ni Jésus Christ! », disait-il . « Je ne résoudrai pas à moi tout seul les difficultés liées à une ville pauvre, qui souffre de 50 ans d’immigration et de tradition de banditisme ».

Une ville qui souffre en effet de cinquante ans de flux migratoires à haut débit. Des Français qui plus largement comme le disait dans un langage très direct Brigitte Bardot dans une lettre adressée au chef de l’Etat en juin dernier, sont victimes de « 30 ans de régression qui ont fait de la France une fosse à purin où toute la m… des autres cultures est venue polluer la nôtre ! »

Il est enfin significatif de noter qu’au moment où l’Elysée fait mine de bomber le torse sur ces questions, NicolasSarkozy a choisi de se priver des services de son conseiller Maxime Tandonnet. Un homme à qui les bien-pensants de l’UMP et des partis de gauche avaient reproché de tenir, notamment sur son blog, un langage très ferme sur les conséquences de l’immigration

Comme le rappelle un communiqué de Marine Le Pen, « Malheureusement, Nicolas Sarkozy n’a jamais suivi la ligne de son conseiller, en menant une politique d’immigration très laxiste (203 000 étrangers légaux accueillis en 2010 en France, un record, contre 114 000 en 2000 sous Lionel Jospin).L’éviction de Maxime Tandonnet marque cependant une étape supplémentaire : seule la bien-pensance immigrationniste est désormais tolérée dans les couloirs de l’Elysée » Rien de nouveau sous le soleil.

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