Faute de parler défense de l’environnement et écologie véritable –laquelle est philosophiquement, intellectuellement historiquement un concept de droite comme chacun devrait le savoir- Mme Joly a déclaré que Marine Le Pen « est l’héritière d’une fortune illégitime, la fortune Lambert », héritée par son père Jean-Marie Le Pen « qui a pratiqué la torture en Algérie et fait de l’antimusulman son credo »
Le Président d’honneur du FN a annoncé qu’il comptait déposer plainte. Une plainte qui succédera à une autre pour faux a-t-il indiqué, puisque son adresse et ses courriers électronique ont été piratés il y a quelques jours avec l’envoi dans les rédactions d’un courriel signé de son nom dans lequel il avouait avoir « torturé » en Algérie
Marine à indiqué pour sa part hier en marge d’une conférence de presse devant les médias étrangers, qu’une plainte allait être déposée « dans le cadre d’une procédure d’urgence » contre la candidate d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) afin d’obtenir gain de cause dès « la semaine prochaine ».
Toujours dans la rubrique des mensonges et des escroqueries politiques, Bruno Gollnisch apporte son soutien à l’appel à manifester et comprend l’indignation du vice-président du FN, Louis Aliot, des associations Pieds noirs et Harkis, à l’occasion de la visite de Nicolas Sarkozy à Rivesaltes, près de Perpignan samedi prochain, où il entend « s’approprier une mémoire (celle des Français d’Algérie et combattants harkis), qu’il a méprisée pendant cinq ans. »
Sous l’impulsion de Bruno Gollnisch, qui sera candidat dans la troisième circonscription du Var aux législatives de juin prochain, les militants varois ont pris une part active à la campagne « Pieds-Noirs et Harkis, le Front National ne vous a jamais trahis ! »
A cette occasion, Bruno s’est félicité de ce que « le scandale des commémorations du 19 mars (date du cessez-le-feu de 1962 en Algérie) est enfin reconnu en partie : le gouvernement, dans un communiqué officiel du secrétaire d’Etat aux anciens combattants, se refuse à commémorer cette date qui vit surtout l’aggravation des attaques et des tueries subies par bon nombre de nos compatriotes. Oui, Loin de réconcilier les mémoires, le 19 mars est une date qui les divise et ravive les plaies profondes d’une page douloureuse de l’histoire récente de la France. Par respect pour ces victimes et leurs familles encore en vie aujourd’hui, la Nation ne peut et ne doit se rassembler en ce jour anniversaire ».
Mais ajoute-t-il « il en faudra plus pour combler les mensonges que ce même gouvernement ou ses aînés ont jusqu’à encore peu mis en lieu et place de la vérité. Nous ne sommes pas dupes ! Un devoir de mémoire s’impose ! » Un devoir qui doit effectivement conduire à ne pas cautionner dans les urnes les représentants des familles politiques qui se sont comportées de manière infâme et/ou ont cautionné l’abjection.