La LICRA, présidée par Alain Jakubowicz, avait cru pouvoir, encore une fois, déposer une plainte contre Bruno Gollnisch à l’occasion d’un communiqué diffusé en octobre 2008 par le groupe Front National au conseil régional Rhône Alpes.
Ce communiqué était relatif à l’initiative d’un agent de la direction de la sécurité publique du Rhône qui avait demandé à la direction des ressources humaines de la région si, parmi leur personnel, il y avait des agents de confessions autre que chrétiennes. Plus de quatre ans de procédure devant trois juges d’instruction à Lyon ont été nécessaires.
Bien entendu, le Parlement européen avait décidé de lever l’immunité parlementaire de Bruno Gollnisch.
La plainte avait été au surplus déposée de façon particulièrement légère par la LICRA qui n’avait même pas jugé utile de faire faire un constat d’huissier de la mise en ligne du communiqué.
Dans ces conditions, le dernier juge d’instruction a, le 11 janvier 2013, rendu une ordonnance de non-lieu, les investigations très approfondies du juge et de la police n’ayant pas « permis de déterminer l’auteur » de cette très grave infraction.
Il faudra qu’un jour ces associations stipendiées rendent compte de la masse des deniers publics qu’elles font dépenser en pure perte au contribuable français