La France livrée depuis des jours aux émeutes et à la violence. Des milliers de voitures incendiées, des équipements collectifs ou des immeubles privés détruits, des tirs à balle réelle sur la police, des centaines de policiers blessés…
La France ne vit pas une situation de guerre civile, qui suppose l’affrontement de membres d’une même communauté, mais un début de guerre inter-communautaire et, les images le montrent, inter-ethnique.
Plus révoltante encore que cette insupportable situation, dont les premières victimes sont nos compatriotes les plus modestes, est la langue de bois officielle pour trouver des prétextes à cette explosion de haine contre l’Etat, contre la France et contre les Français. C’est à peine si l’on ose dire que ces émeutes permettent à des bandes criminelles de réaffirmer leur pouvoir sur un territoire, ou à certains « jeunes » d’entrer en compétition pour passer au journal télévisé de TF1 en ayant commis plus d’exactions que ceux de la cité d’à côté…
Il est donc nécessaire de marteler quelques remarques de bon sens :
– La mort des deux mineurs, qui ont escaladé deux murs d’enceinte pour pénétrer dans un transformateur haute tension signalé comme dangereux, qu’aucun policier ne poursuivait, est une tragique imprudence dont la responsabilité n’incombe qu’à eux-mêmes et à leurs parents.
– Les émeutes anti-françaises sont des actes barbares traduisant l’inassimilation des émeutiers à notre société, quelle que soit par ailleurs leur nationalité de papier.
– La prétendue « médiation des grands frères » accueillis au cri de « Allah Akbar » ou encore la fatwa lancée par l’UOIF (Union des organisations islamiques de France) ne sont que des aspects parmi d’autres de la capitulation des autorités légitimes et la marque de la communautarisation de notre société.
– Les incendies volontaires sont des crimes passibles de la Cour d’Assises.
– La compassion sélective du gouvernement, qui n’a pas jugé bon de recevoir la famille de Jean-Claude Irvoas, lâchement assassiné à Epinay, est une manifestation supplémentaire, et scandaleuse, des deux poids et deux mesures systématiquement appliqués aux victimes, selon leur origine et la capacité de nuisance de leurs proches.
– Les rodomontades de Sarkozy ne sont qu’un discours creux, puisque le Ministre met par ailleurs tout en œuvre pour éviter de sanctionner la « racaille » : on lui doit entre autres l’abolition de la « double peine », la discrimination positive, l’immigration « choisie », etc…
Toute la classe politique, PS-PC mais aussi UMP-UDF, par la politique d’immigration incontrôlée, d’intégration ratée et de laxisme judiciaire qu’elle mène depuis des décennies, est solidairement responsable du calvaire de nos compatriotes dans des centaines d’enclaves livrées à la violence ouverte ou larvée. Comme n’a cessé de le dire Jean-Marie Le Pen, les responsables sont à l’Elysée, dans les Ministères et au Palais Bourbon. Il faut les en chasser !